Argent sale : les accusations du président Tebboune
Dans un entretien accordé à des responsables de médias nationaux, Abdelmadjid Tebboune, président de la République, est revenu sur l’argent sale qui gangrène l’Algérie depuis des années.
Pour le président Tebboune, il y a, bel et bien, une complicité qui rend difficile de mettre la main sur ces capitaux. Il cite, à ce titre, le cas de l’homme d’affaires, Ali Haddad. Ce dernier, malgré le fait d’être emprisonné, il a réussi à payer les services d’un lobbyiste américain.
Le président de la République a affirmé que cet argent sale est à la fois en dinars et en devise. Il a donné l’exemple d’un individu, qui pactise avec un service de renseignement étranger, qu’il n’a révélé le nom. « Il a reçu la somme de 300 000 dollars », a-t-il lancé.
Skander Boutaiba