Brahim Merad rejoint le gouvernement d’Aïmene Benabderrahmane : Qui est le nouveau ministre de l’Intérieur ?
Conseiller du président pour le lourd dossier des zones d’ombres avant d’être nommé comme Médiateur de la République, le 21 mai 2021, M. Brahim Merad vient d’être désigné, ce jeudi, par le président de la République, comme ministre de l’Intérieur à la place de Kamel Beldjoud. Un choix qui repose sûrement sur les grandes réalisations de cet homme depuis qu’il a été chargé du dossier des zones d’ombres. Homme de terrain, Brahim Merad a été plusieurs fois wali. A Annaba entre 1995 et 1997 mais aussi à Tiaret, Boumerdes, Médéa et enfin Tizi Ouzou. Brahim Merad est connu pour son sérieux et sa rigueur. Beaucoup de témoignages parlent des énormes efforts déployés par M. Merad à chaque fois qu’il est chargé d’une responsabilité. Ses résultats dans le dossier des zones d’ombres le confirment. La tâche n’était pas facile, mais pour Brahim Merad elle n’était pas impossible. Elle fût même un succès. En une année, l’homme a réussi le recensement des plus de 13 500 zones d’ombres et à concrétiser plus de 52% des projets de développement programmés dans ces différentes zones d’ombre. Plus de 11 000 projets de développement en faveur des zones d’ombre à travers l’ensemble du territoire national ont été réceptionnés. C’est aussi Brahim Merad qui a réussi la levée d’obstacles pour 867 projets d’investissements qui étaient en suspens, permettant la création de quelques 50 000 emplois. Grâce à cette exécution parfaite et satisfaisante du programme de développement des zones d’ombres, Brahim Merad a permis d’ouvrir la voie à une amorce économique globale. Outre ce travail, l’institution que présidait le nouveau ministre de l’Intérieur s’est chargée de traiter plus de 56 000 requêtes. Merad a donc réussi à suivre à la lettre les directives du Président Tebboune à savoir servir le citoyen, prendre en charge ses préoccupations, améliorer ses conditions de vie et lever les injustices dont il fait l’objet. La promotion dont il vient de bénéficier démontre à plus d’un titre de la confiance que lui accorde le chef de l’Etat.
H.Y.