Confidentiel
Il ne sera pas invité au diner traditionnel du CRIF : Zemmour lâché par les juifs sionistes de France
Eric Zemmour ne laisse personne indifférent. Son discours extrémiste bien rôdé et parfaitement assumé a, pendant longtemps, constitué un phénoménal catalyseur pour lui. Si « bien, qu’il bouscule désormais les favoris, rend incertains les résultats finaux de l’élection présidentielle française. C’est déjà la lecture déjà faite par nous depuis plusieurs semaines, à laquelle il faudrait ajouter une « droitisation » ou un « xénophobisation » de toute la classe politique française. Oui. Sauf que cette courbe ascendante est en phase de fléchissement et que la bonne étoile de Zemmour est bel et bien en train de pâlir présentement. Preuve en est le lâchage ou désaveu qu’il vient de subir de la part de la puissante confrérie juive de France. Celle-ci, apprend-on en effet, vient de Zapper Zemmour de sa liste d’invités à son traditionnel diner du CRIF, prévu au soir du 24 de ce mois, c’est-à-dire à une cinquantaine de jours à peine de la date du premier tour de ce scrutin. Francis Kalifat, dans un entretien accordé à L’Opinion, et que nous avons pu consulter. Il y est question de ce diner, rendez-vous important, sachant que le président sortant, ainsi que tous les candidats sérieux y seront conviés. Zemmour, dont la campagne bat en effet de l’aile, s’était déjà tiré une balle dans la jambe en défendant le régime pronazi Du maréchal Pétain. Le CRIF, qui ne peut raisonnablement lui reprocher publiquement cette prise de position, a tenté de justifier ce lâchage en décrétant que « les extrémistes n’avaient pas leur place au diner du CRIF ». Sic. L’entité sioniste, qui est en elle-même l’extrémisme incarné, se confine dans une sorte de positionnement à deux vitesses pour ne pas avoir à reconnaitre que c’est le puissant lobby financier mondial et français qui est derrière cette anecdotique prise de position. Emmanuel, qui en est le plus grand bénéficiaire, pourrait même en profiter pour éliminer cet « adversaire gênant » en l’attaquant sur son principal talon d’Achille, à savoir les 500 parrainages dûment signés par autant de maires hexagonaux…
Ali Oussi