Considéré numéro 2 du MAK : Le chanteur Amirouche quitte cette organisation terroriste, et promet des révélations fracassantes
Ne reste de l’oued que ses pierres, dit le vieil adage algérien. Mensonges t tromperies ont beau perdurer dans le temps, ils finissent toujours par être percés à jour. Cette fois-ci le coup fatal est venu de la part du bras droit et ami du criminel Ferhat M’henni, le chanteur Amirouche Nait Chabane.
Ce dernier, en effet, a mis en ligne depuis quelques jours un nombre important de vidéos dans lesquelles il dénonce les activités criminelles de l’organisation terroriste dont il vient de claquer la porte.
Tout porte à croire que l’abject assassinat de Djamel Bensmaïl, ainsi que la destruction de surface considérables de la Kabylie, aient fini par avoir raison des ultimes scrupules de cet admirateur du Rebelle Matoub Lounes.
Le chanteur Amirouche, qui promet de fracassantes révélations, doit en savoir long sur les réseaux de collecte d’argent, d’achats d’armes de guerre et de leur acheminement vers l’Algérie.
Le MAK, avec l’aide des services secrets marocains et du MOSSAD, avait promis de mettre l’Algérie à feu et à sang. Son complot, désormais éventé, n’a réussi qu’en partie. S’il y a eu hélas mort d’homme, le MAK n’a fort heureusement pas réussi à dresser les Algériens les uns contre les autres.
Dans une vidéo live, le chanteur engagé a annoncé sa volonté de démasquer un à un les éléments du MAK et à alimenter la DGSN et les chaînes privées de témoignages sur la vérité cachée du Mouvement autonomiste kabyle.
Amirouche a dénoncé dans ses vidéos les appels au meurtre des non kabyles et surtout le rapprochement de Ferhat Mehenni avec le Maroc et l’entité sioniste. Le chanteur a également révélé qu’il a quitté Paris où se concentre la majorité des « makistes » suite à de nombreuses menaces de mort par téléphone.
Une preuve de plus, s’il en fallait encore, que l’organisation criminelle que dirige Ferhat M’Henni prône la violence, et n’hésite as à verser le sang des Algériens pour servir ses bas desseins.
Kmel Zaidi