Développement des zones d’ombre : l’UNSTA se joint à la démarche du président de la République
L’Union Nationale des Scientifiques et Technologues Algériens, (UNSTA) a réagit ce lundi au message adressé le 14 du mois en cours, aux Algériens par le président de la République, depuis son lieu de convalescences, rassurant quant à son état de santé, en amélioration constante.
Dans un communiqué sanctionnant sa réunion, tenue le 17 décembre, la commission de relance des activités de l’UNSTA, s’est en effet, « félicitée », du rétablissement d’Abdelmadjid Tebboune, et lui « souhaite une reprise rapide de ses activités pour l’édification de l’Algérie Nouvelle dont il est l’initiateur et l’architecte ».
« Il y a près de deux mois, j’ai été transféré en urgence à l’étranger après ma contamination au coronavirus. Aujourd’hui, Dieu Merci, et grâce à nos médecins de l’hôpital central de l’armée et aux médecins allemands, je suis en voie de guérison et cette période de convalescence pourrait prendre encore une à trois semaines, nécessaires pour que je reprenne mes forces », avait-il, déclaré dans une vidéo diffusée sur son compte officiel Twitter.
L’UNSTA, a rappelé dans son communiqué, dont une copie est parvenue à notre rédaction, avoir exprimé « son soutien total », à l’engagement du chef de l’Etat portant sur la résorption des zones défavorisées qu’il avait nommées, à juste titre, « zones d’ombre», et réitère à l’occasion, sa proposition, de contribuer, à ce « grand et noble effort par la mobilisation des Scientifiques et technologues algériens, particulièrement ceux à la retraite et ayant une grande expérience des étude set de la réalisation des projets et se trouvant à proximité des dites zones d’ombre».
Le dossier du développement des zones d’ombre à travers le territoire national arrive, faudrait-il le souligner, en tête des priorités inscrites dans le programme du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui n’a eu de cesse d’affirmer depuis son investiture à la magistrature suprême du pays que l’édification de l’Algérie nouvelle « ne saurait se concrétiser sans la promotion de ces zones et la prise en charge de leurs populations ».
M.M.H