Eclairage/Quand passe la caravane…
Les capacités de résilience de l’Algérie sont absolument phénoménales. Non seulement, elle a adroitement surmonté ces années passée de prédation et de non-gestion sous le règne de « issaba », mais en plus elle réussi à au mieux cette crise pandémique mondiale.
Si bien que même le dernier rapport, quoique part trop subjectif, n’a pas su occulter les paramètres et indices positifs déjà réalisés sur le plan socioéconomique en un temps record grâce à la ferme reprise en main des affaires de l’Etat par le président Tebboune.
Or, en parcourant ce rapport, on ne peut s’empêcher d’y déceler une certaine volonté manifeste de nuire à l’Algérie. Cette façon immodérée et irréfléchie d’y prédire le déluge sied fort mal à de supposés experts.
Ces derniers, rétribués par un organisme aussi prestigieux que l’est la Banque Mondiale, sont supposé s’armer d’une rectitude scientifique dedans laquelle l’objectivité le dispute aux canons scientifiques, usités chez tous les économistes.
Le constat est tout autre dans ce rapport. Cette volonté de nuire, et ce « catastrophisme » débridé, que démentent formellement les données chiffrées du terrain, cristallise à coup sûr une volonté clairement affichée de régler quelque compte avec l’Algérie. Au diable vauvert si, chemin faisant, l’éthique et la déontologie doivent être remisés au placard. La Banque Mondiale qui, effectivement en est sortie de son cadre institutionnel usité, n’en sort franchement pas grandie. Bien au contraire. Elle y laisse des plumes.
Et sa crédibilité aussi. A ceux qui pourraient répliquer en soulignant que nous serions par trop excessifs dans le jugement de ce rapport « commandé » et télécommandé, il nous suffit juste de rétorquer que le Maroc voisin, au bord de banqueroute et de l’implosion sociale, a fait l’objet d’un traitement particulièrement complaisant. Certes, il est possible pour n’importe qui de faire dire n’importe quoi aux chiffres.
Nos données macroéconomiques sont tout aussi bonnes que prometteuses. Imparables, et impossibles à grimer, ces données ne sont pas le fruit du hasard, mais d’un harassant labeur, et de pas mal de sacrifices. Les chiffres prospectifs s’annoncent encore meilleurs.
Le président Tebboune, qui a personnellement pris en main le dossier socioéconomique après en avoir fini avec la réédification institutionnelle, amorce la phase finale, et essentielle aussi, de construction de la Nouvelle Algérie.
A croire que les marionnettistes de la BM voient d’un mauvais œil cette salvatrice résurgence. Ils viennent de trahir leur haine viscérale et vengeresse à l’endroit de l’Algérie. Fort heureusement.
Il ne s’agit que d’un rapport. Qui plus est, volontairement dirigé et erroné. Alors, la caravane passe, quoi qu’il se dise ou s’écrive…
M.A.