Vox populi vox Dei
Par Mohamed Abdoun
Comme attendu, et comme souhaité aussi, le conseil constitutionnel a rendu ce samedi son verdit définitif. « La Cour constitutionnelle a proclamé, samedi, M. Abdelmadjid Tebboune, président de la République algérienne démocratique et populaire pour un second mandat, suite à sa victoire à la Présidentielle du 7 septembre 2024 avec 84,30% des suffrages exprimés. Cette éclatante victoire était en effet attendue, et souhaitée par l’écrasante majorité des émetteurs. Avec pas moins de 84,3 voix pour, le président Tebboune jouit d’un blanc-seing en vue de parachever l’édification de cette nouvelle Algérie nous avons déjà commencé à récolter les premiers fruits. A l’entame de son premier mandat, le chef de l’Etat a dû s’atteler à cette immense tâche d’éradiquer les membres et les relais de cette « issaba » tentaculaire, ayant étendu ses relais au niveau de l’ensemble des institutions de l’Etat algérien. Il est loisible pour les observateurs de concevoir que ce ne fut pas là une mince tâche. Tant s’en faut. Heureusement, le président avait pour lui des atouts de taille. A savoir son inextinguible détermination, son expérience dans la conduite des affaires du pays, et les équipes de femmes et d’hommes le secondant, constituant ses yeux et ses bras à tous les échelons du vaste territoire national. Ce plébiscite populaire est en effet amplement mérité. La corruption et la bureaucratie sont en effet en grande partie éradiquées intra-muros, ce qui n’est franchement pas peu dire. L’autre raison majeure qui explique un pareil score, et il y en a d’autres, dont je parlerais ultérieurement, réside dans le fait que le président, durant ce même premier mandat, a fait montre d’une attention quasi paternelle envers les populations les plus défavorisées d’entre nous. L’histoire retiendra que c’est sous la présidence d’Abdelmadjid Tebboune que les zones d’ombre ont été placées sous les sunlights. Le niveau et la qualité de vie des Algériens sont en constante amélioration. Les salaires, déjà sensiblement revus à la hausse, seront carrément doublés durant ce second mandat qui commence. Bien sûr, cela se fera sans inflation. Mieux : la monnaie nationale est en phase de revalorisation grâce à l’ambitieux plan de relance économique, qui a déjà été lancé, et dont on perçoit déjà de fort probants résultats. Bref, à l’interne, il y a de quoi se montrer optimiste. Les Algériens ont de quoi être fiers et heureux de leur choix électoral. D’autant qu’à l’extérieur, les motifs de fierté ne manquent pas non plus. L’Algérie, sous l’impulsion de son président, a recouvré une voix forte, audible, juste et constamment tournée vers l’avenir. Celui des peuples opprimés, à commencer par ceux de Palestine et du Sahara Occidental. Il va sans dire que ce constat positif ne doit pas nous pousser à nous endormir sur nos lauriers. L’heure est plus que jamais au travail, à la vigilance, et à la mobilisation générale. Cette ère qui s’offre à nous, celle de l’Algérie nouvelle, sera porteuse de bien-être pour tous. Car, en effet, la justice sociale a sous-tendu chacune des décisions déjà prises par le président Teboune. Les Algériens retrouvent confiance dans leurs décideurs. Ils renouent aussi avec l’espoir…
M.A.