Il possède 500 voitures de luxe avec une centaine d’agents chargés de leur entretien : Mohamed VI provoque ses sujets et les pousse à la révolte !
Tout a commencé par une très curieuse anecdote : une Rolls-Royce Camargue ayant appartenu à Hassan II, et entièrement refaçonnée par le constructeur pour permettre au défunt d’exercer un de ses hobbies qu’est la fauconnerie. Cette voiture de collection qui vient de trouver acquéreur en Allemagne pour la modique somme de 248.000 euros, s’était retrouvée entre les mains d’un collectionneur, sans que l’on sache vraiment pourquoi, ni comment. Cette Rolls-Royce Camargue de 1977 a été adaptée par le célèbre carrossier et designer automobile italien Franco Sbarro. En plus de remodeler considérablement la carrosserie et le châssis du modèle original en supprimant totalement les portières, Sbarro scie le toit de cet imposant coupé bleu métallique, qu’il remplace par une capote noire rétractable. Il dote également cette voiture mythique, produite en seulement 531 exemplaires par le constructeur britannique, d’un pare-brise pliable (comme sur les vieux Land Rover Defender), d’énormes pneus dignes d’un gros 4×4, qui n’ont rien à envier à un Nissan Patrol, et d’un habitacle d’allure assez étonnante, façon Mini Moke (petit pick-up tout-terrain basé sur le modèle de l’Austin Mini). L’intérieur, en cuir orangé, avec passepoil bleu et ceintures de sécurité couleur azur, a par ailleurs été personnalisé, puisque sur le tableau de bord en bois de ronce teinté bleu, certains des logos ont été remplacés par le sceau de la maison royale marocaine. En prenant connaissance de cette info qui a de quoi faire sortir dans la rue séance tenante pour exiger l’abdication de son roi prédateur, nous avons pu découvrir que Mohamed VI, féru de bagnoles de luxe et de collection, tout comme l’avaient été son père et son grand-père Hassan II et Mohamed V, possède personnellement 500 voitures hors de prix, et à désigné une centaine de personnes pour s’en occuper à temps plein. Cette débauche de luxe outrancière et scandaleuse ne saurait être perçue que comme une impudente et imprudente provocation à l’endroit du malheureux peuple marocain, littéralement en train de crever de faim. Pour saisir la pleine mesure de cet insolent étallage de richesse, il faut sans doute rappeler les débuts du roi marocain, au lendemain du décès de son père. Ces débuts devaient en effet se faire sur les chapeaux de roues avec l’aide de ses mentors sionistes, menés par André Azoulay, que Mohamed VI surnomme affectueusement « tonton dans l’intimité. Une fausse légende lui avait été attribuée, faisant de lui le « roi des pauvres ». Mais, au fil des ans, cette fausse image a vite fait de s’effilocher avant de se dissoudre totalement dans les orgies de luxe et de luxure dans lesquelles se complait à s’avachir ce souverain aux frasques désormais tonitruantes et légendaires. Des révélations qui nous sont faites à propos de son intimité, évoque son fol amour pour la France, membre permanent du conseil de sécurité de l’ONU, auquel il doit son impunité en dépit de tous ses crimes et dépassements commis au Sahara Occidental. Qualifié de « milliardaire ostentatoire » et « provocateur », Mohamed VI, au plus fort de la pandémie de coronavirus, qui a appauvri et réduit au chômage près de la moitié de ses sujets, a acquis pour la bagatelle de 80 millions d’euros un hôtel particulier en plein VIIe arrondissement parisien, un des plus onéreux de la capitale française. La propriété en question s’étend sur 2145 mètres carrés, sur trois niveaux, piscine couverte avec des terrasses et des jardins à couper le souffle. Loin de s’arrêter en si « mauvais chemin » dans sa fièvre acheteuse nous apprenons également qu’il a également procédé à l’acquisition d’un jet privé Gulf-Stream d’une valeur de pas moins de 60 millions d’euros au profit de son fils Moulay Hassan, âgé de 18 ans à peine. Cela, sans parler des vacances fastueuses passées l’été dernier sur un yacht de luxe pour lui et son fils au profit d’une centaine d’invités de marque triés sur le volet. Ce roi sans cœur et égoïste, ne se refuse rien quand il s’agit de sa « petite personne ». en témoigne le « traitement de faveur » dont bénéficie sa voiture préférée, une Aston-Martin régulièrement transportée par avion-cargo pour une simple révision au Royaume-Uni. Ce n’est pas tout. La fortune globale de Mohamed VI et de sa proche famille « donne mal à la tête. En effet, elle est estimée à pas moins de 6,97 milliards d’euros, dont 4,85 milliards d’euros appartient personnellement à Mohamed VI, ce qui en fait le cinquième monarque le plus riche du monde. Inutile de préciser ici que l’incommensurable richesse de ce «roi prédateur » est le produit direct du pillage et de la rapine de son peuple et de son pays, sans oublier le Sahara Occidental bien sûr.
Mehdi Ghayeb