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Massacre de masse en Palestine occupée : Les chiffres de l’horreur !
Le dernier massacre de Khan Younes, dans lequel des bombes américaines ont été utilisée, et qui a fait plus de 90 morts dans une zone déclarée « sécurisée » par les bourreaux israéliens, c’est qu’un carnage parmi des centaines d’autres. Cette entreprise d’épuration ethnique dans le plein sens du terme, se déroule sous le complice de la communauté mondiale. Ici, quelque chiffres de cette horreur absolue à laquelle nous sommes en train d’assister en direct, quasiment heure par heure. Ces chiffre horrifiants pour l’histoire, et pour que personne ne puisse se dédouaner en prétendant qu’il ne savait pas.
– 88 boucheries collectives.
– 48.345 victimes entres martyrs et personnes portées disparues, certainement ensevelies sous les décombres.
– 10.000 personne, au moins, portées disparues.
– 38.345nmartyrs, officiellement recensés par les hôpitaux, qui ne soignent plus personne.
– Parmi ces martyrs, on compte 16.054 enfants et 10.700 femmes.
– 500 martyrs relevant du personnel de la santé entre médecins, infirmiers et autres.
– 75 martyrs parmi les éléments de la défense civile. Ce chiffre est relativement faible, en comparaison avec l’importance alarmante des autres, est dû au fait que ses membres, robustes et en bonne santé, savent mieux s’adapter et survivre face aux bombardements aveugles, et au manque de soins et de nourritures.
– 159 martyrs parmi nos confrères journalistes, auxquels nous avons déjà consacré plusieurs articles.
– 7 charniers découverts dans des hôpitaux détruits en grande partie par l’armée d’occupation après son retrait de ces édifices, censés être protégés par le droit international (convention de Genève).
– 520 martyrs ont été extraits des ces charniers.
– 159 refuges, placés sous protection directe de l’ONU, ont été ciblés par des bombes, des missiles et des tirs d’artillerie.
– Au sein de l’ensemble de ces victimes, plus de 70 % sont des femmes et des enfants.
– 17.000 enfants survivent sans leurs parents, dans des conditions inhumaines.
– 3.500 d’entre eux sont en danger de mort imminente par manque aigu de nourriture.
– 12.000 blessés graves nécessitent un transfert urgent vers d’autres pays sous peine de décéder.
– 10.000 cancéreux n’ont plus accès à leurs traitements habituels.
– 3.000 patients atteints de diverses pathologies nécessitent eux aussi leur transfert vers s’autres pays.
– 1.737,524 patients de diverses maladies contagieuses du fait des nombreuses déportations forcées, du manque d’hygiène, des conditions de survie lamentable et du manque d’hygiène.
– 6.000 femmes enceintes nécessitent un suivi médical constant, mais qui n’est bien entendu pas disponible.
– 350.0000 malades chroniques souffrent le martyrs, car privés par me criminel blocus israélien de leur traitement habituel.
– 5.000 détenus arbitraires, torturés, et privés du droit de se défendre. Parmi ces derniers, on compte 310 cades de la santé, dont le directeur du célèbre hôpital Chifa.
– 23 journalistes arbitrairement arrêtés, et empêchés d’accomplir leur devoir sacré d’informer.
– 2 millions de réfugiés-déportés.
– 197 édifices gouvernementaux totalement et volontairement détruits.
– 115 écoles et universités détruites et/ou saccagées.
– 328 écoles endommagées partiellement, désormais hors d’usage, et actuellement transformées en refuges pour les déportés-réfugiés.
– 609 mosquées détruites, transformées en ruines méconnaissables, ce qui trahit la haine viscérale de l’armée d’occupation israélienne pour l’islam, religion de paix et de tolérance. Mais, dans laquelle on ne tend pas l’autre joue si on est giflés. Le néonazi Netanyahu et ses sbires, le savent désormais.
– 609 mosquées visées et totalement détruites avec un rare acharnement.
– 211 mosquées visées et partiellement détruites.
– 3 églises détruites.
– 150.000 habitations détruites intégralement. Le nombre de victimes ensevelies par ces montagnes de décombres doit être incommensurable.
– 80.000 habitation détruites en parties, rendue insalubres, et inaptes à accueillir des réfugiés.
– 20.000 habitations partiellement détruites.
– 80.000 tonnes d’explosifs ont été larguée sur la petite et étroite bande de Gaza.
– 34 hôpitaux mis hors-service.
– 66 centres de soins également rendus inaptes à accueillir des patients.
– Idem pour 161 structures sanitaires diverses, victimes de bombardements directs et délibérés.
– 131 ambulances détruites, dont beaucoup transportaient des blessés et des soignants au moment de leur destruction.
– 206 structures administratives diverses attaquées et mises hors d’usage.
– 30.030 kilomètres de câbles électriques totalement détruits, et rendus irrécupérables.
– 33 milliards de dollars de pertes directes. Les pertes indirectes sont certainement 10 fois plus importantes.
– Mohamed Abdoun