La montée en puissance de l’Algérie ne peut plus être occultée ni ignorée
Par Miloud Boumaza
Un vent nouveau souffle sur l’Algérie nouvelle. Le drapeau des chouhadas se dresse aux sommets du monde et brille de toutes ses couleurs, portant toute une symbolique : la lutte pour la liberté, la souveraineté, le droit, la justice, en somme toutes aspirations devant garantir l’égalité entre les nations et la paix. L’Algérie, en ces heures omineuses, est plus que jamais la voix de la sagesse.
Nul besoin de hautes études en relations internationales ou en géostratégie pour percevoir dans ces crises et ces conflits mondiaux, qui se multiplient et s’intensifient, les derniers soubresauts d’un Occident moribond.
D’ores et déjà, de nombreux économistes prédisent son effondrement à l’horizon 2030 et conseillent, aux détenteurs de capitaux notamment, de fuir vers les marchés porteurs.
Or, “au cœur de toute crise se trouve une grande opportunité” et dans cette nouvelle ère qui est en train de naître, l’Algérie constitue justement l’une des destinations et l’un des potentiels les plus prometteurs.
Et ceci n’est pas seulement le fruit du hasard. Il s’agit du résultat d’une politique et d’une stratégie méthodiquement appliquée et minutieusement menée par un homme de raison et de cœur, car aucun détail n’a été omis (infrastructures et climat des affaires) et aucune catégorie sociale n’a été négligée :
– les zones d’ombre qui doivent être soulagées et développées
– désignation d’un médiateur de la République pour écouter et recueillir les doléances des citoyens
– facilitations pour les associations et le groupements de citoyens pour l’application de la démocratie participative,
– aide aux femmes au foyer,
– retraités,
– allocations de chômage, formation pour les jeunes ou moins jeunes
– incubateurs pour les start-upers,
– les scientifiques : prix pour les chercheurs et ingénieurs,
– les hommes et femmes de cultures : prix littéraires, etc,
Jusqu’à nos jeunes titulaires du baccalauréat qui sont félicités par “3ami” Tebboune en personne. Car se voulant proche du peuple, le président de la République a proscrit l’usage de l’obséquieux “fakhamatou”, empreint de servilité, devenant, par là-même, avec son langage accessible, le président de tous les Algérien(ne)s.
Quant à nos compatriotes établi(e)s l’étranger, le président Tebboune s’est adressé avec chaleur à leur intention dès son premier mandat dans son premier discours, où il leur a ouvert les bras et jeté tous les ponts pour souder avec plus de force et de vigueur ce lien ombilical, jamais rompu et indéfectible, avec la mère-patrie.
En un court laps de temps, sous sa présidence, l’Algérie a connu une ascension et une transformation fulgurantes. Aussi, le président Tebboune fait-il appel à tous les enfants de l’Algérie, urbi et orbi, pour participer à ce changement radical du visage de l’Algérie.
Nos compétences à l’étranger notamment, que ce soit de la Silicon Valley ou d’autres instituts prestigieux peuvent contribuer, grâce à leur mobilisation en force et leur patriotisme, à impulser un formidable coup d’accélérateur à ce développement qui fera entrer le pays des chouhadas de plein pied dans cette nouvelle ère de progrès et de prospérité.
Il y a bien une spécificité algérienne : celle d’une nation issue d’une des plus prestigieuses guerres d’indépendance de l’histoire moderne. C’est pourquoi l’Algérie sera sempiternellement confrontée à la vindicte et à la rivalité de ces éternels loosers et de ces indécrottables envieux.
Et il y a bien une excellence algérienne, qui se manifeste dans tous les domaines (musique, arts, architecture, etc) dès qu’on lui laisse l’occasion de s’exprimer. Que ce soit dans ses fruits ou ses produits agro-alimentaires, il y a un je-ne-sais-quoi de singulier qui fait la différence et la particularité du made in Algeria. Est-ce son soleil, son eau, son air ou le génie algérien ?
Quoi qu’il en soit, celui-ci fait des merveilles et se révèle au monde lorsqu’il sort des frontières, comme l’on a pu le constater pour nos chercheurs, le raï ou avec la fameuse pâte à tartiner el mordjane, interdite à la vente en Europe après son succès fulgurant.
Jaloux sans doute de sa réussite, à l’instar de bien d’autres qui tentent d’usurper notre patrimoine, un producteur de Normandie a même entrepris de copier sa recette pour la remplacer. Mais l’art et le génie algérien sont, quoi que l’on fasse, inimitable.