« L’Algérie nouvelle » triomphe !
En ce jour mémorable du samedi 15 février 2025, le sommet de l’Union africaine a élu la candidate algérienne, l’ambassadrice Selma Malika Haddadi au poste de vice-présidente de la Commission de l’Union africaine.
La candidate algérienne a obtenu les deux tiers des voix nécessaires pour remporter le poste devant les quatre candidates de la région Nord, originaires d’Égypte, de Libye et du Maroc.
La Libye a retiré sa candidature, après avoir obtenu le plus faible pourcentage, l’Égypte a été éliminée par la suite. Le Maroc, dont la forte délégation était dirigée par le ministre des Affaires étrangères et parrainée par le
directeur général du renseignement militaire (DGED), a connu une lourde défaite qui lui est restée au travers de la gorge après la victoire de la candidate algérienne qui a remporté le dernier round des élections haut-la-
main.
Le succès de la candidate algérienne a ébranlé la salle de conférence, qui est passée d’une réunion du sommet
à une salle des fêtes.
La diplomatie des principes, de la moralité et de la crédibilité a prévalu sur la diplomatie de la corruption, de
la vente de la dignité des Marocains et des Marocaines, de la diplomatie du clientélisme et des compromis
scandaleux.
Le régime marocain a tenté par ses voies habituelles, de la corruption et des faux engagements, d’entraver
l’élection de la candidate de l’Algérie, qui a montré aux dirigeants africains une capacité exceptionnelle pour
occuper le poste à pourvoir, contrairement à la candidate du Maroc, qui a fait preuve d’une faiblesse et d’un
manque de connaissance impardonnables des questions et défis auxquels l’Union Africaine est confrontée.
Le Makhzen a usé de tous les moyens, sans y parvenir, pour soudoyer, tromper, trahir les représentants des
pays africains afin de les amener à élire sa candidate, mais en vain, ceci en plus d’une véritable armada de
journalistes et de sbires payés grassement pour arracher par tous les moyens cette élection.
Lorsqu’ils ont vu que l’élection était en leur défaveur, des ordres ont été données à tous les agents du makhzen
pour empêcher, par n’importe quel moyen, l’élection de la candidate algérienne : mais le fiasco était au
rendez-vous pour les marocains qui ne peuvent nager qu’en eaux troubles.
Ainsi, l’Afrique libre a voté aujourd’hui pour le pays du million et demi de martyrs, qui a été, et est toujours,
depuis des décennies, le point nodal des mouvements de libération africains luttant contre le colonialisme et la
barbarie, par opposition au régime expansionniste du Maroc, allié de l’apartheid, des colonialistes et traître
aux causes justes.
La Patrie News