Le chef du gouvernement marocain annonce que la provocation d’Omar Hilal « n’est pas la position politique du royaume » : Premier recul de Rabat
La cinglante et très musclée riposte algérienne face aux multiples provocations et agressions marocaines, parfaitement documentées dans la déclaration liminaire de notre chef de la diplomatie Ramtane Lamamra, a fini par faire réagir le gouvernement makhzenien conduit par Saâdeddine Al Othmani, également président du PJD (parti pour la justice et le développent).
Dans un long entretien accordé en plusieurs parties au média « Hes-Press », ce responsable politique et gouvernemental s’est publiquement désolidarisé du l’ambassadeur marocain auprès de l’ONU, Omar Hilal qui avait publiquement annoncé son soutien au MAK terroriste de Ferhat M’Henni.
Il s’agit de la première réaction à cette sortie provocatrice, assimilable à une véritable déclaration de guerre, cela à la suite de du rappel de notre ambassadeur à Rabat pour consultation et de notre demande d’explication à laquelle seul un assourdissant silence avait répondu.
La sortie d’Al Othmani trahit la panique du Makhzen depuis que notre pays a décidé de réagir de manière musclée, et appropriée, à la politique belliqueuse et va-t-en –guerre de Rabat.
S’il est certain que ce recul n’est pas sincère, à l’image du discours du trône conciliateur de Mohamed VI, il n’en demeure pas moins qu’Alger vient de reporter une première victoire dans son bras de fer forcé avec le Maroc, mené et conseillé par ses maitres sionistes. Alger est une citadelle imprenable, et qui s’y frotte s’y pique. Avis…
Ali Oussi