Le président Tebboune rentre au pays pour parachever l’édification de l’Algérie
nouvelle Bienvenue Monsieur le Président !
De retour au pays, après une brève période de convalescence, le président Tebboune, pleinement rétabli, est là pour reprendre en main et parachever les tâches titanesques qu’il s’était assigné lors de sa campagne électorale.
Son discours-programme d’investiture du mois de décembre de l’année passé avait déjà donné le « la » de ce que sera cette « nouvelle Algérie » à laquelle nous aspirons tous. Si la plus grande des priorités a été pour le nouveau président la reconquête de la confiance entre le citoyen et l’Etat, cette gageure a été en grande partie couronnée par un incommensurable succès en dépit d’une mémorable année de manifs de rues.
Il faut dire que le mérite en revient avant tout à cette lutte lancée tous azimuts contre la corruption, les indus-avantages et l’impunité. Tous les individus, que l’on pensait jadis « intouchables et ostensiblement placés au-dessus des lois de la République, ont fini par être rattrapés par la justice. Du jamais vu pour un peuple habitué à vivre avec une justice « asservie » et ne regardant jamais là où il faut.
Un impressionnant panel formé par deux anciens premiers ministres, plusieurs ministres, mais aussi toutes le figures de proue de cette nouvelle oligarchie, ont dû rendre compte de leurs actes sur la place publique, mais et surtout rendre une bonne partie de tout ce qu’ils ont pris au peuple algérien.
L’indépendance de la justice, doublée du retour vers un plus grand respect des valeurs humaines et citoyennes sera sans aucun doute un acquis majeur dans ce premier mandat du président Tebboune.
A celui-ci, il faut sans doute ajouter les incommensurables efforts déployés par le premier magistrat du pays.
De régulières rencontres avec la presse sont en effet organisées, sur fonds d’immenses trésors explicatifs et pédagogiques avec, pour souci majeur de gagner l’adhésion et le soutien de la plus grande majorité des citoyens algériens. Enorme aura été cette gageure face à des citoyens échaudés, et habitués à la hautaine arrogance de la plupart de leurs anciens décideurs.
Très sûr de lui dans le déroulement de sa feuille de route, le président a à peine été ralenti dans sa marche forcée vers la « nouvelle Algérie » par cette persistante pandémie de coronavirus. Là encore, le bilan présidentiel est plus qu’honorable. L’Algérie, en effet et grâce aux mesures judicieuses mises en place, peut se targuer d’être l’un des pays les moins touchés.
Parallèlement, et en un temps record, l’industrie pharmaceutique s’est très rapidement adaptée aux nouveaux défis posés et imposés. Notre pays, dans ce domaine précis est en train de vivre un tournant historique et salvateur.
Ce n’est pas tout. Tant s’en faut. La preuve formelle de l’empathie de Tebboune envers les Algériens, tous les Algériens, réside bel et bien dans le fait qu’il a eu le courage politique de soulever publiquement, et de prendre à bras le corps l’épineuse problématique des zones d’ombre.
Grâce à lui, et ce n’est pas peu dire, des millions d’Algériens peuvent enfin dire qu’ils ont vécu une sorte de seconde indépendance. La révision constitutionnelle, œuvre maitresse de ce mandat présidentiel, est elle aussi porteuse d’un message très fort à l’adresse des électeurs-citoyens.
Le faible taux de participation est la preuve absolue d’une rupture totale et consommée d’avec la fraude électorale et le bourrage des urnes. L’invitation est claire pour retrouver le chemin des urnes, aux fins de redonner plus de poids aux futures assemblées élues. Ici reprend le chemin vers l’Algérie nouvelle.
Nous y croyons, la voie est libre…
La Patrie News