Les réalisation du Président Tebboune en deux ans de mandat
Deux ans après son élection à la magistrature suprême du pays, le président Abdelmadjid Tebboune a concrétisé, de manière effective, les principaux engagements électoraux qu’il a promis aux citoyens algériens.
Après le rétablissement de l’autorité de l’État et la mise à l’écart des dérives attentatoires à l’unité nationale, l’assainissement des structures de l’État avec le lancement des actions en justice contre la rapine et la corruption, ce fut l’adoption de la nouvelle constitution, une constitution inédite pour le pays, une loi fondamentale non « assujettie » à un individu, puisqu’elle s’attelle à l’ancrage des bases d’un véritable État de droit, elle renforce les libertés individuelles et collectives, elle consacre la séparation des pouvoirs, elle remodule la doctrine militaire nationale en fonction des intérêts stratégiques du pays et de l’évolution du contexte géopolitique international, elle engage une véritable moralisation de la vie politique, elle favorise le renouveau du personnel politique national avec la limitation des mandats, elle encourage le développement de la société civile, elle inscrit le Hirak originel comme un des piliers de son socle, sans citer les autres points positifs qui sont tout aussi nombreux et féconds.
Ce fut ensuite le lancement du renouvellement démocratique de l’ensemble de l’édifice institutionnel du pays, avec la tenue des élections législatives et des élections locales, dans un cadre régulier et honnête encadrée par une autorité indépendante, excluant toute forme de fraude, et loin des pratiques du passé. Ni argent sale, ni trituration des chiffres, ni quotas, ni manipulation des résultats, des élus avec une véritable légitimité populaire.
Ce renouvellement sera parachevé avec les élections sénatoriales au suffrage indirect, qui auront lieu dans 2 mois et qui concernent une partie des élus du conseil de la nation. Sur le plan législatif, des textes ont été adoptés et promulgués concernant la condamnation, sans appel, des discours de haine et de division, concernant le renouveau économique du pays, et l’élimination des activités économiques parasitaires qui avaient gangrené et vicié tous les secteurs de production.
Sur le plan des statistiques, le président Tebboune avait instruit tous les secteurs économiques à produire des chiffres fiables et avérés, loin de toute manipulation ou surenchère politicienne ou démagogique.
La relance économique fut aussi l’un des axes majeurs de la politique des 2 gouvernements constitués sous l’égide du président Abdelmadjid Tebboune. Avec des résultats probants puisque pour la première fois dans le pays, les exportations de produits nationaux hors hydrocarbures, ont fait un bond significatif.
Les investissements internes ont été encouragés, sans oublier l’assainissement du foncier industriel et la mise à l’écart des « faux » investisseurs, qui se sucraient en fait sur l’argent public et les crédits octroyés par les banques publiques, pour réaliser leurs prétendus « investissements », en majorité pour installer des usines de montage, sans savoir-faire et sans véritable transfert technologique.
L’agriculture ne fut pas en reste avec l’encouragement des investissements et de la diversification des cultures et des plantations, avec la mise à niveau des concessions de jouissance. Dans ce cadre, la lutte contre la spéculation illicite et parasitaire a été encadrée par un texte de loi qui alourdit considérablement les peines et les amendes contre les contrevenants.
Sur le plan international, la politique étrangère du pays, tout en reposant sur les principes essentiels qui ont fondé sa démarche et découlant des valeurs de Novembre, a opéré une véritable mue, en intensifiant son activité et son dynamisme, pour la défense des intérêts suprêmes de la nation, et pour la résolution des problèmes enregistrés dans la région et le monde.
L’Algérie reste également the last country à refuser toute accointance avec l’entité sioniste, notamment aux dépens du peuple palestinien meurtri par la colonisation, tout comme elle reste solidaire du combat du peuple sahraoui contre le Makhzen occupant et pour son autodétermination.
Enfin, et attendant les résultats des réformes économiques et sociales engagées en 2021, l’Algérie Nouvelle en construction, ne peut se départir de son rôle d’État démocratique et social, rejetant les inégalités, l’arbitraire et l’injustice.
Yasmina HOUMAD