Les scénarios de l’élimination physique du président Poutine, sont une confirmation des crimes politiques légendaires de l’Occident.
Les cabinets de la subversion occidentale travaillent, maintenant, sur l’ultime scénario, l’élimination physique du président Poutine.
Comme les occidentaux ne peuvent pas engager une guerre directe contre la Russie, de nouveaux scénarios subversifs sont mis sur la table, pour défaire Poutine et l’humilier, à l’exemple de Saddam Houssine et de Kadhafi .
L’idée de l’élimination de Poutine est lancée dans plusieurs pays, en Europe et aux États Unis, dans les milieux sionistes et de l’extrême droite, qui organisent déjà des pressions sur les milieux politiques, pour valider un tel scénario macabre, qui figure en bonne place, dans le CV des services spéciaux de l’occident.
Poutine qu’on a traité de tous les maux, ne veut pas s’inscrire dans la démarche de ces criminels, et a donné l’ordre de ramener Zelinsky vivant à Moscou. Le président Ukrainien qui a été trahi par l’occident, a émis, depuis peu, suite à de fortes déceptions, plusieurs signaux, pour se rapprocher de Poutine.
Le renversement de présidents par l’occident commence, en premier lieu, par la mise en œuvre de scénarios de défiance des populations envers leur gouvernants, c’est le printemps arabe où la révolution aux couleurs .
Quand cela ne suffit pas, on passe à un deuxième scénario, consistant à provoquer, au sommet de la hiérarchie, des fractures et des confrontations, devant évoluer vers l’élimination du président. Les services occidentaux travaillent actuellement, sur cette hypothèse, par le canal des médias et de réseaux occultes.
La mise en scène de ces trahisons, en série, par l’occident, nous rappelle les scénarios mis en œuvre pour l’élimination des présidents Salvador Allendé, Harafat, Sadam Hussein et Mouamar Khadafi, ainsi que d’autres personnalités, dans le monde, à qui on a fait subir une mort atroce, par des voie expéditives et extra légales.
Dans tous les cas de figure où on est en présence d’un assassinat commandité par l’occident, celui ci est réalisé avec préméditation, impliquant directement la responsabilité de l’Etat, comme ceux commis massivement, par la France coloniale, en Algérie.
L’élimination physique des présidents est l’ultime recours de l’occident pour se débarrasser d’un obstacle qui empêche de dérouler le rouleau compresseur de l’extension géographique coloniale .
Tuer une personne, décidé au plus haut niveau de l’Etat, par des voies extra légales, est une spécialité occidentale et un acte criminel, qui relève d’un terrorisme d’état, passible de la justice internationale.
Maintenant, on comprend parfaitement la matrice politique du terrorisme international qui puise sa source dans les États nantis qui continuent d’assassiner toute personne, porteuse d’un projet de société divergeant.
El Qaida et Daesh, sont les supplétifs et les milices djihadistes de l’occident, pour la conquête de nouveaux territoires, devant baliser la route à des interventions étrangères massives, au nom de la lutte contre le terrorisme.
L’opinion publique internationale doit savoir qu’il existe encore dans les démocraties libérales, dans leur dispositif organisationnel, des services spécialisés, chargés de préparer et d’exécuter l’assassinat de personnalités politiques. La CIA et le Mossad, sont deux services secrets qui continuent, officiellement, à pratiquer des assassinats d’Etat.
Ronen Bergman, journaliste, au New York Times et investigateur de l’entité sioniste, a impliqué la responsabilité des services secrets israéliens, des Français et du roi hassan 2, dans l’élimination physique de l’opposant politique Mehdi Benbarka.
Des techniques subtiles sont également utilisées pour se défaire de toute « personne encombrante ». On peut citer quelques poisons connus, comme la Ricine, un poison 6000 fois plus violent que le cyanure, développé par les USA, le Canada et la Grande-Bretagne, le Polonium-210, une substance radioactive extrêmement toxique, ou encore la dioxine qu’on peut servir à l’occasion d’une collation ou d’un dîner. Ces poisons ont servi à des assassinats de personnalités. Ils sont discrets et difficilement identifiables.
Ces poisons connus, avec d’autres substances toxiques, que le commun des mortels ne connaît pas, sont un moyen discret pour éliminer des adversaires et des personnalités politiques, peu dociles ou en état d’insubordination.
Quand les relations internationales sont crisogenes et tumultueuses, les trahisons, en toutes circonstances, sont des scénarios qu’on doit surveiller de très près.
C’est pourquoi, à un haut niveau:
« la vigilance bétonnée et cadenassée » doit être optimale, pour la protection des personnalités les plus importantes.
On ne le répétera jamais assez, pour dire que les armes biologiques et chimiques, ont été développées par l’occident, pour tuer et exterminer, à grande échelle. Elles sont considérées comme une menace à la paix et à la sécurité des populations.
Les Nations Unies ont classés les armes chimiques, comme des armes destruction massive, dont le brevet d’invention est l’occident.
La technologie de l’élimination physique a évolué et elle a permis d’étendre le champ des assassinats, par les services spéciaux de l’entité sioniste et sous l’administration Obama, par le moyen des escadrilles de drones qui se sont transformées, sur le terrain, en massacres de populations civiles.
Selon le New York Times, on a enregistré de graves dérapages, qui se sont transformés en éliminations massives de populations civiles, résultant de renseignements défaillants, de tirs de missiles imprécis, ayant provoqué la mort de milliers de civils, dont de nombreux enfants.
Ces crimes d’Etat ne se sont jamais traduits par des poursuites judiciaires, contre les auteurs de ces bavures, et cela en raison de leur protection, à un haut niveau de l’Etat.
Pour avoir commis tant de crimes, contre des populations civiles, Obama, le roi des assassins, par drones, a été gratifié par l’occident, du prix Nobel de la paix. De tels massacres de populations civiles, commis par l’Amérique, par l’armée sioniste et par l’armée Françaises, sur des champs de crises, de conflits et de guerre, sont éligibles au statut de crimes de guerre, que le tribunal pénal international a couvert, et protégé, honteusement, par son silence coupable.
On peut énumérer, à n’en pas en finir, la liste des crimes de guerre et des génocides commis par l’occident, contre l’humanité. Comme par un enchantement, l’occident se transforme en tuteur et en protecteur des droits humains, des libertés et de la démocratie.
C’est le scénario pour enfants, du loup dans la peau d’un agneau, qui veut passer la nuit dans la bergerie !
L’occident continue de tuer massivement des populations civiles, mais contre toute attente, et grâce à de puissants lobbys, il accuse d’autres nations, pour des crimes, faisant oublier, pour un temps, les crimes massifs qu’il a commis, et dont il est le premier responsable.
L’occident ne veut pas construire un monde équilibré, mais sa dernière volonté est de vouloir imposer, par la force, sa domination incontestable sur le monde, et cela passe par l’intégration, dans l’Union Européenne, de l’Ukraine, de la Moldavie et de la Géorgie, et pourquoi pas, de Taïwan, l’ultime provocation contre la Chine.
Ce sont ces scénarios futurs que nous décodons, suite aux successives déclarations sibyllines, de Stoltenberg, secrétaire général de l’OTAN, qui est la courroie de transmission et la caisse de résonance de l’Amérique.
Le monde a changé et l’Amérique a compris qu’elle doit désormais respecter la Russie et la Chine, et que le langage de la menace et de l’extorsion, dans les relations internationales, ne sont plus tolérés.
Hacene Kacimi
Biographie
– Président du centre opérationnel au ministère de l’intérieur, chargé de la gestion des crises et des problématiques migratoires.
– Expert international des flux migratoires, reconnu par des organisations onusiennes.
– Expert du Sahel et de la gestion des crises .– Représentation de l’Algérie , à l’étranger , en tant qu’expert.
– Plusieurs communications, à l’université de sciences politiques et l’école des sciences politiques.
– Plusieurs communications à l’école de guerre de Tamentfoust .
– Distinction de l’institut fédéral allemand des hautes études de sécurité .