L’occupant israélien interdit les ventes de cybertechnologies à ses nouveaux alliés arabes
Selon la chaîne I24 News, le ministère israélien de la Défense a retiré ses nouveaux amis arabes de la liste des États qui peuvent acquérir ses cybertechnologies. Le Maroc, les Emirats arabes unis et l’Arabie saoudite y figurent.
En raison du scandale qui a touché l’entreprise NSO Group – lié à l’utilisation par plusieurs pays, surtout le Maroc, de Pegasus, un maliciel ultra puissant, pour espionner des journalistes et des opposants -, le gouvernement de l’occupant israélien a donc décidé de réduire le nombre de pays auxquels il est permis de vendre des cybertechnologies.
« Les pays dont le bilan en matière de droits de l’homme est douteux, notamment les nouveaux alliés d’Israël que sont le Maroc et les Émirats arabes unis, ont été retirés de la liste », affirme I24 News qui reprend un autre média israélien.
Dorénavant, seulement 37 pays peuvent prétendre à l’acquisition des logiciels israéliens contre 102 auparavant. Si les alliés arabes de Tel-Aviv ont été rabroués, ce n’est pas le cas de l’Inde. Concerné par les révélations sur le scandale Pegasus, New Delhy n’a pas été retiré de la liste. Ils ne devraient pas le prendre mal…
Yanis Younsi