L’universitaire Abdellali Merdaci parle de censure : Belle leçon de vie et de… journalisme
Dans un style beaucoup plus plaisant que blessant, l’universitaire et professionnel de la presse Abdellali merdaci a saisi au vole une fausse enquête du Monde Diplomatique » parlant de censures en Algérie. Fallait pas réveiller le tigre et le plume acérée qui sommeille en lui. Non, fallait vraiment pas. Non, fallait vraiment pas. Ce redoutable polémiste qui connaît la pesse sur le bout des doigts, s’est livré à une magistrale analyse-rétrospective, appelée à devenir un instrument de travail pour tous les journalistes professionnels qui désirent exercer honnêtement leur noble métier, bien loin de la manipulation et de la… censure a oui, la censure, parlons-en. Elle existe sous une forme feutrée et sournoise. Tacite et invisible aussi. Ahmed Bensaada, traité de « barbouze » par Ihcene El Kadi en été victime, sans la moindre possibilité pour cet universitaire de se défendre et de rétablir les faits dans leur contexte originel. Oui, la censure existe en Algérie. Elle a même pris des proportions à tout le moins inquiétante. Or, elle ne touche que les analystes, politiques et universitaires qui osent s’aventurer à décrire la véritable nature du néo-hirak. Or, il ne s’agit rien moins que du croisement des deux organisations terroristes que sont Rashad et le MAK. Ce n’st pas tout, si des journalistes ont été embarqués, et même emprisonnés pour certains, ils ne l’ont jaimais été dans le cadre de l’exercice de leur métier, mais uniquement en tant que militants, agitateurs et activistes tentant de donner une vie médiatique à ce très dangereux né-hirak. Très déchainé, et résolu à en découdre face à ces individus qui font du mensonge une règle de conduite quasi-générale, Merdaci rappelle en détails les turpitudes et les liaisons fort peu avouables entretenus en France ave certains cercles qui ne veulent pas que du bien à l’Algérie. Tant s’en faut. Bien forcée de se défendre du temps de Bedoui-Feraoun, Alger a bloqué ce site quand il avait frontalement mené campagne contre la présidentielle du 12 décembre 2019. La transition souhaitée par les tenants de cette ligne éo-hirakiste, et la sortie de la ligne fixée par notre constitution aurait précipité l’Algérie dans un chao indescriptible, incommensurable et, sans doute interminable. Le texte, particulièrement long de Merdaci, mérite que tout un chacun s’y appesantisse afin que personne ne puisse dire un jour qu’il ne savait pas. Les « gentils ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Oh, que non !
Mohamed Abdoun