Manœuvres militaires de la marine espagnole au large des côtes marocaines : Mohamed VI va boire ses déboire jusqu’à la lie
Le Maroc n’est certainement pas arrivé au bout de ses peines et de ses déboires, après s’être essayé à jouer les « gros bras » face à bien plus fort et bien plus grand que lui.
Le site officiel de l’armée espagnole a annoncé ce jeudi dans un Tweet l’organisation de manœuvres militaires au large des côtes marocaines. Il ne s’agit rien moins que d’une démonstration de force parfaitement explicite de la part du royaume ibérique en riposte aux inacceptables et impardonnables provocations du Maroc, et pleinement revendiquées et assumées par son chef de la diplomatie, Nacer Bourita.
Au reste, si ce dernier est désormais à bout de souffle, se trouve sur la sellette et serait désormais sur le départ, l’on croit savoir que Madrid aurait discrètement demandé sa tête avant tout éventuel processus de nouveau rapprochement entre ces deux royaumes voisins.
Bourita est tellement caricatural sans qu’il ne soit nécessaire de forcer sur les traits, qu’on le dirait presque sorti d’une pièce vaudevillesque. Tragicomique aussi, car il nous fait souvent rire jusqu’aux larmes.
Au reste, il va nous manquer beaucoup lorsque Mohamed VI va donner le coup de balai qui va le dégager en même temps, supposé-je qu’une bonne partie du gouvernement marocain. Mais, pour le Maroc, la situation s’est nettement aggravée à cause de son traitement, carrément catastrophique de l’hospitalisation du président sahraoui en Espagne. « Les gagnants sont Brahim Ghali, devenu une figure mythique, le Polisario qui a gagné en visibilité et en poids et l’Algérie qui a collé un uppercut au Maroc sans bouger le moindre doigt. KO debout.
Le mot est lâché. Le Maroc est knock-out, sonné, groggy. C’est ce qui explique sans doute son silence depuis quelques jours alors qu’il se faisait fort d’ « empester » et de « parasiter » la scène médiatico-diplomatique.
La victoire du Polisario est totale. Sans ambages. Ce n’est pas tout. L’Europe, en effet, en a pris ombrage toute entière. C’et toute la communauté européenne qui a pris fait et cause en faveur du royaume ibérique.
Trop grossière et carrément inacceptable, la provocation marocaine a en effet mis en danger la vie de près de 10.000 personnes, dont près de la moitié est constituée de femmes et d’enfants.
« Des sanctions ainsi qu’une ferme et formelle condamnation de cet acte « hostile et inamicale» sont dès lors incontournables, nous indiquent des sources, qui précisent que cette institution législative devrait se réunir dans les tous prochains jours pour adopter une résolution allant dans ce sens.
Le roi marocain est un criminel notoire. Cette affirmation relève de la simple vérité axiomatique. Elle n’a dès lors pas besoin d’être prouvée le moins du monde.
La tristement célèbre « carcel negra » en est la plus vile et la plus affligeante illustration. Mais, cette fois-ci, il n’est nullement besoin d’aller exhumer les archives du passé pour juger et condamner les crimes imprescriptible commis par la famille royale marocaine.
En effet, nous apprenons, de sources sûres et recoupées qu’un mandat d’arrêt international pourrait incessamment être lancé contre Mohamed VI, ainsi que plusieurs hauts responsables pas moins de 10.00 sujets marocains, dont 5.000 enfant, ont été jetés vers une mort certaine, n’était l’intervention rapide et efficace des services de sécurité et des gardes-côtes espagnols.
Ces malheureuses victimes, dépêchées massivement vers Ceuta dans le seul but de «punir » le royaume ibérique pour avoir accueilli sur son territoire le président sahraoui, Brahim Ghali, pour des raisons strictement humanitaires et médicales. Ainsi, l’ironie du sort, voudra pourtant que le déchainement et la machination judiciaire déclenchée contre le chef du Polisario se retournasse contre ses principaux initiateurs, à par Mohamed VI en personne.
Les aveux publiquement faits par Nacer Bourita, son chef de la diplomatie en constituent en effet une la preuve la plus formelle et la plus incontestable qui soit. De nombreux responsables européens, et non des moindres, ont formellement lancé en ce sens de gravissime accusations contre Rabat.
Mohamed Abdoun