(Pas de) Tehlab
– Il y a bien longtemps que Macron, moribond depuis pas mal de mois ou d’années, ne fait plus l’actu.
– Je sais que c’est sa hantise, faire la une des journaux, quand bien, même la presse parlerait de lui rn mal. Ne sont-ce pas là les symptômes du parfait pervers narcissique ?
– Au lieu de rétorquer par « wana aâreft », je préfère relever qu’hier, il était tellement à bout der souffle, à court d’arguments et d’idées, la presse n’a rien trouvé à se mettre sous la dent, hormis cet histoire de référendum concernant la fin de vie et les soins palliatifs.
– T’as raison, c’est l’essentiel de ce qu’en a retenu la presse hexagonale. On a carrément l’impression que Macron parle de lui-même, sachant qu’il est personnellement en fin de vie (politique), qu’il a mis son pays à genoux, l’a rendu aphone à l’international, avec le bilan le plus catastrophique de tous les présidents qui l’avaient précédé à ce poste. Ce « tour de force » est d’autant plus remarquable qu’il lui était très difficile, voire impossible, de faite pire que des nullards comme Hollande ou Sarkozy.
– Macron, au lieu d’arrêter le massacre, opte pour la fuite en avant. La suicidaire fuite en avant. Normal, quant il parle lui-même de fin de vie, et de soins palliatifs. Soutenant au passage la poursuite des massacres de masse à Gaza. Ce génocide abrège les souffrances de dizaines de milliers de Palestiniens, traqués, affamés, privés de tout…
– Macron vient aussi d’autoriser ce mercredi son ministre des Affaire étrangères, Jean-Noël Barrot, à renvoyer d’autres diplomates algériens.
– Il est devenu très difficile de traiter avec un régime, qui a totalement viré vers le fascisme. Même le fait de brandir des portraits d’enfants massacrés par les protégés israéliens de Macron peut nous mener en taule. Avec ça, il fait rien pour stopper les manœuvres et déclarations provocatrices de son ministre de l’intérieur, Brunot Retailleau, à cause de qui nous en sommes là.
– A mon avis, l’euthanasie politique, la démission ou la destitution, reste le seul soin palliatif pouvant encore être administré afin de sauver le peu qui peut l’être encore.
– Oui, mais en passant ou pas par un référendum ?
– Wana aâreft.
Mohamed Abdoun