Très souvent, bien plus souvent que tu ne le penses, les apparences peuvent s’avérer particulièrement trompeuses.
Dans ce cas, mieux vaudrait parler d’appâts rances plutôt que d’apparences.
Les juifs, depuis Goebbels sont passés maitres dans l’art de manipuler la com et les foules. Ces massacreurs génocidaires du peuple palestinien continuent de se « victimiser » éternellement, et d’imposer à l’Occident un incommensurable complexe de culpabilité depuis la seconde guerre mondiale.
Je ne te le fais pas dire, oui…
– Durant la nuit du vendredi 18 au samedi 19 août, quelque part en Hexagone, des inscriptions antisémites ont été peintes en lettres noires sur la vitrine du restaurant casher Mr. Schnitz. La France entière en a été « horrifiée ». même le ministre de l’Intérieur et fils de harki, Gérard Darmanin, y a été de se pleurnicheries et indignations pour plaire et complaire au puissant lobby du CRIF. Bien sûr, la flicaille a été immédiatement mise en chasse. Et ses meilleurs limiers ont été déployés.
– Cela, pour une simple inscription sur la façade d’un magasin !
– Bah, on plaisante pas quand il s’agit des juifs. Y sont à leurs ordres en France. Et partout ailleurs en Occident. Y a pas de quoi s’étonner quand on sait que Tel-Aviv arrive à faire passer pour « actes terroristes » une bonne partie de la noble, courageuse et juste résistance palestinienne.
– Or, il s’est avéré que l’auteur de ces inscriptions est lui-même d’origine juive et fils de rescapé de l’Holocauste. L’homme de 74 ans, ancien prothésiste dentaire et de confession juive, est le propriétaire du local en question. Le contrevenant avait évoqué des loyers impayés par le gérant de la sandwicherie. Son procès est prévu pour le jeudi 14 décembre au tribunal de Nanterre.
– Du coup, l’auteur devient « contrevenant », pris en sympathie par la presse et la justice française. On lui cherche, et lui trouve moult circonstances atténuantes.
– De quoi faire ricaner jaune Dieudonné, qui continue de subir le total blackout de toutes les institutions hexagonales et de ses médias.
– Je comprends mieux pourquoi c’est tellement facile de massacrer des Palestiniens, de les chasser de leurs terres, et de dynamiter leurs maisons. Leur shoah est invisible. Ils n’existent même pas aux yeux du néonazi et ministre des finances israélien Smotrich.
– Dis, que se serait-il passé si c’est un musulman maghrébin qui avait commis ces inscriptions, que se serait-il passé ?
– Wana aâreft…
Mohamed Abdoun
N.B : Le cas de ce fieffé manipulateur n’est pas isolé. En voici quelques autres exemples. Dieu a dit juste, et à tout dit dans le saint Coran.
Cet acte s’ajoute à la longue liste de fausses agressions antisémites ou d’actes perpétrés par des membres de la communauté juive :
Un prétexte pour changer de HLM (2003) : Un couple de septuagénaires a été pris en flagrant délit pour avoir tagué le mot «juif» sur des véhicules stationnés dans le 16ème arrondissement de Paris. La femme du couple était de confession juive et il s’agissait de leur quatrième tentative de se faire passer pour victime d’antisémitisme afin de changer de HLM.
Le coup de l’assurance (2003) : Un restaurant casher appelé L’Atrium, appartenant à un certain Richard B., a été incendié.
Le propriétaire a avancé la thèse d’un acte antisémite, en citant comme preuve que la mezouzah de la porte arrière avait été arrachée et jetée à terre. Cependant, au cours de l’enquête, la police a découvert que l’homme avait des dettes de loyer et que son affaire n’était pas rentable.
Il avait également reçu une notification d’expulsion de l’établissement quinze jours avant l’incendie. Il semble que Richard B. ait décidé d’incendier son restaurant pour se retourner vers son assurance, qui prévoyait un dédommagement de 300 000 € en cas de sinistre.
L’incendie du Centre social juif de la rue Popincourt (2004) : Le centre social juif de la rue Popincourt à Paris a été incendié.
Les murs étaient couverts de tags antisémites, y compris des croix gammées et des inscriptions telles que «Les juifs dehors» et «Sans les juives, le monde serait heureux».
Les réactions ne se sont pas fait attendre, avec des déclarations de solidarité de la part du président de la République, Jacques Chirac, et du maire de Paris, Bertrand Delanoë.
Le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, a également déclaré que le parquet requerrait la peine maximale et que toutes les forces du pays seraient mobilisées pour arrêter rapidement les auteurs.
Pour Klugman, les propos de Le Pen sont inspirés d’Adolf Hitler (2002) : Jean-Marie Le Pen, président du Front national, a déclaré lors de l’élection présidentielle qu’il était socialement de gauche, économiquement de droite et nationalement de France.
Patrick Klugman, président de l’Union des étudiants juif de France (UEJF), a déclaré que cette phrase était inspirée d’un discours d’Adolf Hitler en novembre 1932 au congrès du Parti national-socialiste. Cependant, il a été révélé que cette information était fausse et qu’il n’y avait pas eu de congrès du NSDAP en novembre 1932 et que Hitler n’avait jamais prononcé cette phrase.
Quand le grand rabbin de France affabule (2003) : Le grand rabbin Sitruk a déclaré en direct de Jérusalem sur France Inter qu’il avait appris que des jeunes gens avaient été poignardés dans une école juive du XIXème arrondissement de Paris et que l’un d’eux était décédé des suites de ses blessures.
Cependant, la police s’est rendue sur place et a découvert immédiatement qu’il s’agissait d’une affabulation du grand rabbin Sitruk.
Alex Moïse, victime des partisans de Dieudonné ? (2004) : Alex Moïse, président d’un «comité citoyen antiraciste», a porté plainte pour avoir reçu des menaces de mort et des injures racistes lors d’un appel téléphonique anonyme.
Il a expliqué à la police que ces menaces étaient probablement dues à son combat contre l’humoriste Dieudonné, dont il avait obtenu l’annulation de plusieurs spectacles en tant que président du «comité citoyen antiraciste». Cependant, cinq mois après la plainte, l’affaire s’est dégonflée. Alex Moïse a été condamné à 750 euros d’amende et deux mois de prison avec sursis. Les investigations auprès de l’opérateur téléphonique ont prouvé qu’il s’était adressé à lui-même des insultes antisémites par téléphone.
L’Affaire du RER D (2004) : Le 13 juillet 2004, Marie-Léonie L. a été auditionnée à l’antenne de police judiciaire de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) et a été placée face à ses contradictions et aux incohérences de son récit apparues au fil des vérifications.
Elle a fini par admettre avoir tout inventé de A à Z et a été placée en garde à vue pour dénonciation de délit imaginaire».
Elle a reconnu s’être elle-même porté les marques de coups de couteau, s’être coupé une mèche de cheveux et avoir tracé les croix gammées.
Le commissaire chargé de l’enquête a expliqué qu’elle voulait attirer l’attention sur elle et son entourage pour qu’on s’occupe d’elle.
Le soir, l’affaire a fait de nouveau la une des JT et Marie-Léonie L. a lu un court texte dans lequel elle présentait ses excuses au président de la République, à Nicole Guedj, aux personnes qui avaient manifesté leur soutien à son mensonge.