Rejet de la candidature de Zetchi par la commission de la FIFA : Il faut punir cette impardonnable trahison !
La candidature algérienne au conseil de la FIFA par le biais de son président de la fédération de Football, M. Kheireddine Zetchi, pour intégrer l’exécutif de cette haute instance internationale de football, aurait été rejetée en raison de deux sanctions disciplinaires dont celle de 2016 quand l’ex-président du Paradou AC, et qui n’est autre que l’actuel président de la FAF, avait écopé de six mois de suspension au terme d’un désaccord avec la ligue professionnelle de Football.
Bien que le président de la fédération algérienne de football, n’ait pas voulu approfondir dans ce sujet, il est évident que la commission des candidatures au niveau de la FIFA, n’aurait jamais pris connaissance de cette sanction interne sans une orientation motivée par des pièces jointes officielles émanant d’une personne ou de plusieurs personnes ayant accès aux archives administratives de nos structures footballistiques.
Chose qui est d’ailleurs impardonnable voire même condamnable à l’égard de tous ceux qui tentent de régler leur compte au détriment des intérêts internationaux de l’Algérie, tout en sachant que ces pseudo-Algériens ou doit-on dire les présumés traîtres, auraient servi d’une manière ou d’une autre le principal concurrent de notre candidat en l’occurrence, le Marocain Faouzi Lekjaa, et qui est rappelons-le, derrière la sanction de Kheireddine Zetchi par la CAF, à la suite d’une altercation lors d’une assemblée générale relative à l’organisation de la CHAN tenue au Maroc.
On a beau dire et même si Kheireddine Zetchi refuse de s’appesantir sur cette gravissime affaire, l’on se trouve bel et bien face à un vil acte de délation, pour ne pas dire carrément trahison. Force est de constater en effet que le poste du président de la FAF, est à l’origine de plusieurs conflits entre les différents acteurs footballistiques du pays au vue des moyens et le budget colossal qui alimentent le sport roi en Algérie, mais oser jusqu’à servir les rivaux étrangers, cela nécessite forcement l’intervention des plus hautes autorités pour mettre définitivement terme à ce genre de délire.
R.S.