Respect dû à l’emblème national : Samir Bouakouir met les points sur les « i »
Patriote intègre, militant au long court, et ancien cadre dirigent du FFFS, au temps de ses meilleures et plus belles années, Samir Bouakouir n’est pas prêt de baisser les bras face aux attaques et menaces qui guettent l’Algérie. L’emblème national non plus. Non, surtout pas en ce 30 août que d’aucuns ont décidé de dédier à un « drapeau » attentatoire à l’unité nationale, tant territoriale que populaire. C’est dans des moments pareils que des patriotes de cette envergure se signalent pour adopter une position courageuse et patriotique, n’en déplaise aux menaces et intimidations subies. Le vrai militantisme et les combats authentiques se déclinent de la sorte….
« Non, non et non ! Vos insultes et menaces proférées via ma messagerie privée n’y changeront rien. Jamais, je ne hisserais l’emblème « amazigh » conçu par l’ACB de Mohand Arab Bessaoud et Jacques Bénet et imposé par le très suspect Congrès mondial Amazigh, cheval de Troie des puissances mondiales néolibérales, comme le drapeau d’une pseudo entité supranationale, Tamazgha, négatrice de l’Algérianité et de l’Etat-nation. Je suis un algérien amazigh, c’est à dire un homme libre. Et un authentique Amazigh, de la graine d’un Jugurtha, ne peut, en aucune circonstance et sous aucun prétexte, se faire le complice de ceux qui veulent enterrer l’Algérie moderne de Novembre et de la Soummam et ressusciter les vieux démons du tribalisme et de l’ethnicisme ».
Samir Bouakouir