Révélation explosive
Production d’armes chimiques en Ukraine : Le fils de Biden impliqué
Finalement, l’empressement du locataire de la Maison Blanche çà pousser ses affidés européens à tomber dans le grossier piège de la guerre contre la Russie, n’était pas du tout désintéressé et altruiste. De fracassantes révélations fournies ce samedi par le New York Post accusent directement Hunt le fils du président américain, déjà sanctionné par Moscou suivant une liste dont nous avions livré le contenu à nos lecteurs en primeur, d’avoir partie liée avec des réseaux et laboratoires secrets de production d’armes chimiques en Ukraine, légalement et internationalement prohibées. Explosive, la révélation a de quoi sonner froid dans le dos. France-Soir, seul journal hexagonal à rebondir sur cette info, précise que « Les dernières révélations mises à jour par le New York Post ne laissent plus de place au doute. La famille du président des États-Unis — en l’occurrence Hunter Biden, son fils, est impliquée dans un gigantesque schéma de création de laboratoires d’armes biologiques en Ukraine portant sur 24 pathogènes ». et de préciser que Le New York Post est le journal qui, en octobre 2020, avait mis la main sur l’ordinateur portable d’Hunter Biden. On y apprenait déjà, entre autres collusions de très haut niveau, la nomination du fils au sein du Comité de Direction de la société ukrainienne Burisma, en 2014. Les révélations, toutes plus accablantes les unes que les autres, pleuvent en cacade : « Cette fois, l’entreprise mise en cause dans l’investissement en armes biologiques n’est autre que Rosemont Seneca Technology Partners, dont le fond appartient en propre au fils du président. Celle-ci aurait investi 500 000 dollars, une somme qui paraît modique, dans Metabiota, une start-up de recherche de pathogènes. Rosemont s’est ensuite attelée à lever des fonds beaucoup plus conséquents auprès de la Banque Goldman Sachs. L’entregent du fils aurait aussi permis de lever 23.9 millions de la part du gouvernement américain, et de faire levier auprès de l’équipementier pour les laboratoires biologiques du Pentagone, Black and Veatch, lequel disposait depuis 2010 d’une patte en Ukraine, dans la ville d’Odessa, au travers d’un laboratoire de “surveillance d’attaques bioterroriste, d’épidémies et de pandémies ». ces dangereux apprentis sorciers qui tiennent en main les rênes décisionnels de la planète entière ne reculent ainsi devant aucun mensonge, aucune forfaiture, ni aucun crime. Seul l’argent et les affaires comptent pour eux. Selon un communiqué de l’ambassade de Russie, publié sur son canal Telegram le 25 mars dernier, le nombre de laboratoires mis en place par Hunter Biden, avec l’aide de l’Agence américaine pour le Développement International, la Fondation Georges Soros et le Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), serait de “30 unités de recherche sur 14 sites en Ukraine”. Quant au financement, “pour la seule période de 2018 à 2020, il s’élèverait à 32 millions de dollars”. Difficile de ne pas penser à la panique de Victoria Nuland, à l’idée que les Russes puissent avoir accès aux données de ces laboratoires. “Le financement de ces activités a permis aux États-Unis et à leurs alliés [ndlr : alliés non spécifiés, mais il s’agirait du Royaume-Uni] d’exporter au moins 16 000 échantillons biologiques d’Ukraine. […] Il s’agit non seulement d’échantillons de tissus et sérums sanguins humains, mais aussi d’agents pathogènes dangereux et de leur vecteur. Ainsi plus de 100 000 échantillons ont été envoyés au Center Lugar en Géorgie. Parmi d’autres bénéficiaires figurent également des laboratoires de Référence au Royaume-Uni et l’Institut Loeffler en Allemagne.”, écrivait l’ambassade de Russie en France. Cette véritable bombe, sur laquelle nous reviendrons ultérieurement, et qui met également en cause le milliardaire Georges Soros, concepteur des des printemps arabes et colorés, devrait enfin donner à réfléchir à l’opinion publique occidentale, en train de se faire manipuler et mener par le bout du nez…
Ali Oussi