La littérature de Kamel Daoud manque de profondeur. Sa plume est fielleuse et superficielle. Si le tout Paris le porte aux nues, c’est qu’il trahit sa race, sa religion, et crache sur ses origine.
Il est la catin intellectuelle offerte et soumise entre les mains des nostalgiques du paradis perdu algérien. Son dernier torchon, offert par un ami, que je salue au passage, je n’ai pu le lire. A peine l’ai-je feuilleté avant de le mettre de côté. Les critiques lues me confortent dans mon impression première.
Ce torchon, bourré de redondance, où la vacuité le dispute à sa volonté d’insulter ce passé d’islamiste qu’il abhorre, n’est primé que parce qu’il insulte l’Algérie, se livre à de viles accusations.
Ce n’est pas tout. Kamel Daoud a menti à ses maîtres en prétendant que son histoire était une pure invention, lui le génie de la littérature et de la fabulation, et a poignardé dans le dos cette femme dont il a raconté l’histoire, Saâda Aârbane. Elle se trouve être l’amie de son ex-épouse.
Celle qui n’était plus assez bien pour lui, lui qui fréquente les sa salons huppé du tout Paris, et qui a même été condamné pour violences aggravée sur elle. Saâda Aârbane est une rescapée des anciens massacres du sinistre GIA, et y a perdu ses cordes vocales.
Exploiter ce drame pour scribouiller ce roman en prétendant que l’histoire est inventée de toutes pièces. L’individu Kamel Daoud a donc menti à ses maitres, et trahi cette dame qui, sans doute, tombe des nues. Mais avec des gens de son espèce, il faut s’attendre à tout. A commencer par le pire.
D’ailleurs, il a même violé le secret médical de Saâda Aârbane. Cela ne saurait déranger ses maîtres. Bien au contraire. Le hic c’est qu’il est de notoriété publique que « qui a trahi, trahira encore et encore ». A qui le tour….
Mohamed Abdoun