La Fédération algérienne de football (FAF) a introduit, ce samedi 20 janvier, une réclamation auprès de la Confédération africaine de football (CAF) pour protester contre les arbitres en charge de la VAR lors des deux matchs de l’Algérie, face à l’Angola et au Burkina Faso.
« La FAF a accompagné cette réclamation officielle par des photos et vidéos, suite à des situations de penalties évidents. La VAR n’a pas branché. L’ensemble des situations litigieuses ont été transmises au secrétaire général de la Confédération africaine (CAF) Véron Monsengo-Omba qui s’est montré étonné », a expliqué à l’APS le président de l’instance fédérale.
Walid Sadi qui a d’ailleurs reçu ce dimanche, au lieu de résidence des Verts à Bouaké, la télévision nationale à qui il a accordé quelques déclarations, notamment sur la rencontre de la veille contre le Burkina Faso et surtout le volet arbitral qui a privé la sélection d’entrevoir l’issue de la rencontre autrement.
Tout en affirmant que la sélection nationale est toujours dans de bonnes conditions de séjour et de travail et qu’elle poursuivra ses efforts pour décrocher une qualification aux huitièmes de finale de la CAN TotalEnergies – Côte d’Ivoire 2023, le président de la FAF a souhaité à ce que l’arbitrage soit à la hauteur de l’événement continental afin de donner la meilleure image possible de notre football et ne pas léser les sélections méritantes.
Le président de la FAF a dans ce sens déploré le fait que l’arbitre chargé de la VAR, fait appel à l’arbitre central à chaque fois qu’il s’agit d’une faute pour les Burkinabés mais pas pour les Algériens ».
« La sélection nationale a été lésée dans son droit et on a été privés de trois pénaltys valables », a-t-il dit.
« La VAR n’a pas branché. L’ensemble des situations litigieuses ont été transmises au secrétaire général de la Confédération africaine (CAF) Véron Monsengo-Omba qui s’est montré étonné », a expliqué le président de la FAF, Walid Sadi.
Y.Y