Colloque international sur la justice environnementale : Lutte contre le crime climatique
Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Abderrachid Tabi a participé, ce mardi, aux travaux du deuxième colloque international sur la justice environnementale en Méditerranée. Il a affirmé que l’environnement, est devenu une préoccupation de premier plan des instances internationales. L’Algérie attache une importance à l’environnement, selon la constitution de novembre 2020.
Le ministre a souligné que la constitution garantit le dialogue, la proposition et l’analyse et la participation de la communauté nationale. Aussi, l’adhésion de l’Algérie à de nombreux accords, en matière de qualité des zones humides, et de l’utilisation de l’eau de mer, s’emploie encore à envoyer un dispositif législatif de protection de l’environnement, notamment des forêts et de la conservation de la biodiversité, correction des dommages environnementaux et du motif de redevance, des médias et de la participation à la protection de l’environnement. Ceci dans le cadre d’une protection durable de l’environnement, notamment des espaces environnementaux. La loi sur l’investissement exige également des dispositions pénales contre les auteurs de pollution et de destruction de la nature. Confirmant que la loi interdit l’obtention d’un brevet. Les autorités judiciaires spéciales annoncent chaque demande de brevet à chaque personne concernée. Attendu que le ministre, a souligné, que la réalisation de la durabilité environnementale est un moteur important et la lutte contre la corruption liée à la criminalité environnementale. Lutte contre les contacts avec des objets protégés et coopération judiciaire internationale dans ce domaine.
Farid Haddouche