Contribution/ Un sentiment de déjà vu : Une coalition militaire internationale, contre la Russie
Par Hassen Kacimi
Troisième partie et fin
La théorie des tenailles du crabe, en Ukraine, du général Russe Alexandre Dvornikov, et les longs couteaux de la subversion qui s’aiguisent en Afrique du nord.
Les Américains et l’Europe sont en train de déstocker leur vieux matériel de guerre, pour le vendre à l’Ukraine.
Une cagnotte de 30 milliards de dollars a été dégagée, par le congrès Américain, pour vendre de la camelote à ce pays. Un gros pactole, en jeux, qui va pousser, à l’extrême, le pourrissement, pour faire main basse sur ce trésor.
En pleine guerre, les occidentaux ne ratent aucune occasion pour faire des affaires, avec la complicité du président Zelinsky, qui a détruit son pays, et jeté son peuple, sur le chemin de l’exil et des réfugiés.
Le président nazi et sioniste, Zelinsky, a réussi à réaliser la partition de son pays, pour avoir voulu jouer, dans la cour des grands.
Zelinsky a voulu offrir son pays, sur un plateau en or, à l’OTAN et à l’Amérique, en faisant des erreurs stratégiques, impardonnables.
Dans cette guerre, par procuration, la Russie a frappé très Fort, particulièrement, avec la nomination du grand stratège, le général, Alexandre Dvornikov, qui a vaincu l’Amérique, et défait l’Europe, en Syrie.
Les enseignements tactiques que nous pouvons tirer de cette offensive Russe, portent sur la nécessité de mettre en place, une continuité territoriale, entre les républiques du Loudansk et de Donesk, dans le Dombase, avec la Crimée.
La stratégie des tenailles du crabe, mise en place par Alexandre Dvornikov, est en passe de réussir, en prenant, comme un rouleau compresseur, le contrôle de toutes les zones portuaires Ukrainiennes, devant asphyxier économiquement ce pays, qui n’aura plus d’accès, sur la mer noire et la mer d’Azove.
Le crabe ferme ses pinces, au nord et au sud, pour avancer vers l’ouest, et écraser les forces spéciales, Américaines, Anglaises et Françaises, déjà en engagées en Ukraine.
Les Russes ont pris possession, par surprise, des laboratoires de recherche biologiques et bactériologiques Américains, en Ukraine. Comme par enchantement, l’épidémie du Corona est en voie d’extinction dans le monde ?
L’Ukraine passera ainsi d’un pays maritime à un pays continental, enclavé, dont les importations et les exportations, passeront par la Russie, qui disposera ainsi d’un levier d’influence mortel, à l’égard de l’Ukraine et de l’Europe occidentale.
Après voir occupé Mariopol, l’offensive Russe doit se poursuivre sur Khersone, Mykolaeiv et Odessa, pour fermer la route de la mer noire, à la Pologne et à Moldavie qui constituent des points importants, d’acheminement des armes occidentales, vers l’Ukraine.
Le général, Alexandre Dvornikov, en bon joueur d’échec, ferme le jeu, en détruisant, avec des armes de haute précision, de dernière génération, tous les points de passage, réseaux routiers, ports, aéroports, ponts, pour empêcher l’infiltration des armes occidentales à l’ouest de l’Ukraine, particulièrement, aux frontières de la Pologne, qui affiche une hostilité déclarée, contre la Russie.
L’OTAN, l’Amérique et l’Europe ont décidé d’acheminer en Ukraine du matériel de guerre offensif. Des dépôts importants d’armes occidentales, en Ukraine, sont tombées entre les mains des Russes, qui ont bien apprécié de tels cadeaux, acheminés gratuitement, dans les dépôts de la Russie.
Au début de la guerre d’Ukraine, les Russes avaient programmé, uniquement, l’occupation du Dombase. La suite des événements a dévoilé la volonté de l’OTAN, d’annexer l’ouest de l’Ukraine.
Le général Alexandre Dvornikov est entré dans la deuxième phase d’une guerre d’usure, qui va se poursuivre, tout au plus, deux années, pour empêcher l’OTAN d’annexer l’ouest de l’Ukraine, comme cela a été fait en Allemagne, durant la deuxième guerre mondiale.
Ce qui justifie la théorie, selon laquelle l’histoire est un éternel recommencement, sous de nouvelles formes. Les Russes, cette fois ci, ne se feront pas surprendre, comme en 1991.
La guerre d’Ukraine aura des conséquences collatérales, douloureuses, pour les États, qui vont se poursuivre, pendant plusieurs années.
Cette guerre d’usure, qui va durer deux années, aura des répercussions dramatiques, sur l’économie mondiale, qui va plonger dans une récession insoutenable, avec une croissance nulle, étendant le champ de la pauvreté et du chômage. La contestation sociale gronde en Europe et aux États Unis.
Pour faire face à de telles turbulences mondiales, l’Algérie doit être ferme, sur le plan régional, en mettant en place une gouvernance de crise, en mobilisant ses fins limiers, et en constituant des stocks alimentaires et sanitaires stratégiques, importants, pour couvrir les années 2023 à 2025.
La Chine qui a anticipé ces événements, en prenant les devants, pour sécuriser sa population, a constitué des stocks alimentaires stratégiques, représentant 60% des stocks mondiaux.
L’Algérie, au Maghreb, fait la guerre sans la faire, en se mobilisant au niveau de toutes ses frontières, où le mal de la discorde couve intensément. Elle doit être prudente, dans la gestion de l’avenir et prévoir les tirs croisés de l’Amérique et de l’Europe, pour lui faire payer, son refus de s’aligner, de manière inconditionnelle, sous la tutelle humiliante, de l’OTAN.
L’Algérie doit juguler, à tout prix, cette migration massive subsaharienne, qui entre clandestinement sur le territoire national, avec des identités inconnues et non déclarées, dont certains, pour ne pas être accusé de racisme, de discrimination et de xénophobie, en mission commandée, peuvent installer, dans notre pays, des cellules de collecte de l’information et des cellules subversives, comme celle du Mossad à Ghardaïa et Oran, démantelée en 2018, en mesure de provoquer le désordre, dans certaines wilayas.
Pour mettre fin à l’absence de prise en charge de ce dossier, aucune parcelle de terrain du territoire national, ne doit être prise en otage par des organisations criminelle subsaharienne, de trafic de migrants, qui ont installé des villages subsahariens, comme à Magtaa Kheira, dans la wilaya de Tipaza, situé dans l’oued Mazafran, dans un maquis, dans les limites administratives entre les wilayas d’Alger et de Tipaza.
L’implantation des villages subsahariens, dans certaines wilayas, en Algérie, nous indique que les choix d’implantation de ces villages, obéissent à une précision intrigante. Ils sont encadrés par des réseaux étrangers criminels.
Le choix d’implantation de ces villages n’est pas fortuit, il obéit, sans aucun doute, à des implantations, décidées par satellite, à proximité de zones sensibles et stratégiques.
Un tel plan bien étudié, a permis « d’encercler les villes Algériennes », par l’installation d’une multitude de villages étrangers, en situation illégale, où l’Etat est totalement absent.
Ces réseaux de trafic de migrants et de traite des personnes, subsahariens, sont encadrés par des entités étrangères inconnues. C’est pour des raisons impératives de sécurité nationale que le recensement et le démantèlement de ces villages, doit se faire au plus vite.
En matière de protection de notre sécurité nationale, la tolérance zéro, doit être la règle absolue.
« Il y a des parties qui encouragent à ce que l’Algérie devienne une plate forme de débarquement migratoire, comme le Niger. Une telle vieille exigence de l’Union Européenne, a toujours été refusée par l’Algérie, qui s’inscrit contre le projet d’externalisation de la gestion des frontières Européennes, en Algérie.
Transformer l’Algérie, en plate forme de débarquement migratoire, obéit à plusieurs objectifs. Le premier est celui d’élargir les frontières de la libre circulation des personnes de la CEDEAO, à l’Algérie, pour permettre aux 20 millions de migrants internes en Afrique, de rejoindre, en toute facilité et sans contrainte, l’Algérie.
Le deuxième est d’implanter en Algérie, de nouvelles ethnies subsahariennes, comme au sud de la Libye, avec les Toubous, qui ont réussi à se constituer en armée, et qui militent pour la partition du Fezan Libyen, une zone très riche en pétrole.
Voilà un complot occidental, bien ficelé, qui est sur le point de réussir, qui explique pourquoi ce dossier a été tant négligé »
Dans les zones de conflits ou en crise, les services spéciaux étrangers, agissent dans l’anonymat, en développant le renseignement, sous toutes ses formes, pour infiltrer l’ennemi et l’affaiblir.
Nous avons eu, à plusieurs reprises, la preuve matérielle que les circuits migratoires ont été les meilleures filières de circulation des réseaux spéciaux étrangers.
Les longs couteaux s’aiguisent, dans l’ombre des trahisons, pour dépecer l’Afrique du nord, en pleine turbulence.
Il faut reconnaître que le mal est en nous, parce que nous avons été incapables de défendre nos intérêts, dans plusieurs dossiers et dans plusieurs secteurs, où tout va à vau-l’eau, par manque de stratégie prospective, ou par sabotage.
Les résistances au changement, risquent bientôt de subir les châtiments extrêmes du président de la république, Abdelmadjid de Tebboune, qui a lancé, discrètement, plusieurs enquêtes, pour dévoiler les trahisons qui couvent dans l’ombre des alcôves occidentales et de leurs sous-traitants locaux.
Biographie
– Président du centre opérationnel au ministère de l’intérieur, chargé de la gestion des crises et des problématiques migratoires.
– Expert international des flux migratoires, reconnu par des organisations onusiennes.
– Expert du Sahel et de la gestion des crises .– Représentation de l’Algérie , à l’étranger , en tant qu’expert.
– Plusieurs communications, à l’université de sciences politiques et l’école des sciences politiques.– Plusieurs communications à l’école de guerre de Tamenfoust
– Distinction de l’institut fédéral allemand des hautes études de sécurité .