Le MAK est un mouvement terroriste et criminel en puissance. Des preuves existent concernant son financement par de l’argent sale, produit du trafic de drogue, et de l’achat d’armes destinées aux éléments radicalisés prêts à passer à l’acte, comme certains l’on fait lors des incendies meurtriers et volontaires de l’été de l’année passée. Il est aussi soutenu et financé par des puissances étrangères ennemies jurés de l’Algérie, à l’égal du Makhzen et de l’entité sioniste. C’est Axel Belabbas, conseiller politique du terroriste Ferhat Mehenni qui en a fait l’aveu. Il faut bien sûr passer sur les énormes mensonges balancés par cet Axel-terroriste concernant l’existence de l’Etat algérien. Celui-ci étend en effet des racines séculaires, largement antérieure de plusieurs siècles à l’invasion française. Cet intervenant ferme aussi pudiquement les yeux sur l’engagement patriotique et nationaliste de la région de Kabylie aux côtés du FLN historique. Ce n’est pas non plus un hasard si la chaine sioniste 124 prête gracieusement ses ondes au MAK qui aurait tenu en France un prétendu et fantomatique cinquième congrès. En revanche, la jonction entre le MAK et les terroristes islamistes de RASHAD ne fait non plus aucun doute via les maillons que sont Amir Boukhars, Hicham Aboud et Abdou Semmar. Le chanteur Allaoua, militant très proche de Ferhat Mehenni avant de s’en éloigner épouvanté, avait accordé un impressionnant et inquiétant témoignage à La Patrie News. Il y comparait le MAK au sanguinaire et tristement célèbre GIA (groupe islamique armé) des années 1990. Cet artiste, à qui touts propos contraires à ceux du chef-dictateur Ferhat Mehenni, a été menacé de mort par les éléments de la garde prétorienne du chef du MAK. La chaine sioniste i24 lui accorde gracieusement ses colonnes, car elle partage les mêmes valeurs racistes et suprémacistes que lui. Elle cherche aussi à nuire à l’Algérie via ce canal médiatique à cause de son soutien indéfectible à la cause palestinienne. Ce n’est pas tout, le parti Istiklal vient de soumettre un amendement au projet de loi portant attribution de la nationalité marocaine. Il faudrait, selon lui, maitriser la langue amazighe, parmi les cinq critères requis. Ce parti, qui piétine allègrement la charte des Nations-Unies, revendique vertement une partie du territoire algérien. Son agissement, cherchant à nuire à l’Algérie, n’est pas sans rappeler celui de Hassan II, qui hébergeait, armait et finançait les terroristes sanguinaires du GIA. Son ex-émir national, Abdelhak Layada, en nous recevant chez lui à Baraki, nous avait révélé avoir été reçu au palais royal par le « vizir » de Hassan II Driss Basri. Le retour de flamme, depuis les attentats de Casablanca, n’en finit plus de se faire sentir. Avant la rupture par l’Algérie de ses relations diplomatiques avec le Maroc, celui-ci n’en finissait plus de quémander la réouverture de ses frontières terrestres avec notre pays. Son rapprochement d’avec l’entité sioniste amplifie le mécontentement des populations contre le roi et son Makhzen, déjà passés maitres dans l’art de piller les richesses ce royaume, désormais à vau-l’eau…
Ali Oussi