Pénurie des produits alimentaires :
Le complot
On ne le dira jamais assez : Les complots et les manœuvres qui se trament contre l’Algérie ne sont pas le fruit de l’imagination comme prétendent certains sceptiques, mais une réalité évidente et manifeste.
L’Algérie Nouvelle dérange. Les faits sont là pour nous rappeler que des individus adeptes de l’instabilité continuent de tirer les ficelles dans l’objectif de semer la zizanie.
D’ailleurs des groupes organisés œuvrant à la déstabilisation de la société et des institutions de l’Etat, étaient à l’origine du phénomène de la spéculation illicite et de la pénurie de certains produits de large consommation.
La spéculation illicite est en effet, passée actuellement à un autre stade qui dépasse la flambée des prix.
« C’est ce qui se confirme d’après les preuves qui établissent que cette spéculation est désormais un acte organisé visant la déstabilisation directe de l’Etat », affirmait Abderrachid Tabi, ministre de la Justice et garde des Sceaux à la Télévision algérienne.
« Il est incontestablement établi à tous que ces actes (inscrits dans le cadre de la spéculation illicite) sont devenus des crimes organisés commis par des groupes qui veulent déstabiliser la société et les institutions de l’Etat en alimentant le désespoir chez les citoyens et en frappant directement leur pouvoir d’achat », avait-il ajouté.
Quid des produits qu’on trouve disponibles dans des pays voisins, voire même en France et non pas en Algérie, des produits pourtant subventionnés et protégés par des textes juridiques réglementaires ? s’est-il interrogé.
Ces « pénuries » savamment orchestrées, intervenaient, faudrait-il le souligner, à quelques jours de la présentation par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane devant l’Assemblée populaire nationale (APN), de la Déclaration de politique générale du Gouvernement.
Dénigré à maintes fois, c’est tout l’exécutif qui était visé. D’ailleurs, dans le même contexte, un parti politique est allé jusqu’à faire circuler une pétition, dans laquelle, il exigeait sans plus « le retrait de confiance » au Gouvernement. Rien que ça.
Seulement l’Algérie est inébranlable. Serein et maîtrisant parfaitement le sujet, chiffres à l’appui, Aïmene Benabderrahmane a répondu dans son exposé à toutes les questions des parlementaires.
« L’Algérie a réussi, grâce aux orientations judicieuses du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune et la volonté des hommes dévoués, à surmonter une conjoncture difficile qui a pesé sur les finances publiques de l’Etat ces dernières années », avait-il affirmé.
Le dernier rapport du Fonds monétaire international (FMI) qui a salué les mesures prises par le Gouvernement ces deux dernières années dans l’objectif de relancer la dynamique de l’activité économique qui a enregistré, en 2021, un taux de croissance de 4,7% portant ainsi la croissance du Produit intérieur brut (PIB) à 3.5% après une stagnation en 2020 et un recul de -5,1%, est là, pour l’attester.
La majorité des groupes parlementaires à l’Assemblée populaire nationale (APN) avaient de leur côté, salué le bilan du Gouvernement dont la mission avait été pleinement assumée et assurée dans le cadre de l’application des 54 engagements du président de la République Abdelmadjid Tebboune.
C’est dire que les Algériens, dans toutes leurs composantes, ont su encore une fois, faire avorter les desseins conspirateurs. Dans l’Algérie Nouvelle, nulle place aux lobbys. Personne n’est au-dessus de la loi.
« L’Etat frappera d’une main de fer quiconque oserait toucher aux vivres des Algériens et contre toute tentative de retourner à l’importation sauvage », avait averti le Premier ministre, qui a dans la foulée présenté « ses excuses à l’endroit de toute famille algérienne ayant trouvé des difficultés pour se procurer certains produits de large consommation ».
« Je ne me justifie pas, mais je fournis plutôt des explications afin de contribuer tous, chacun à son niveau, à barrer la route aux parties malveillantes qui tentent, exprès, à diaboliser la situation », avait-il soutenu.
Message reçu. Les expériences passées nous ont enseigné que la stabilité d’un pays n’a pas de prix…….
La Patrie News