Touché de plein fouet par la guerre en Ukraine et déjà en pleine crise : Le régime marocain au bord de l’effondrement
Le magazine français Le Point, que l’on ne peut absolument pas d’être anti-marocain, le contraire étant d’ailleurs plus vrai, vient de publier un long reportage dont le titre ne laisse guère planer d’équivoques sur les graves difficultés sociales et économiques dans lesquelles se débat le royaume chérifien, lesquelles se sont nettement accentuées avec l’éclatement du conflit militaire en Ukraine.
Son titre parle en effet d’une « onde de choc» qui vient de toucher de plein fouet et de terrasser ce régime belliqueux et expansionniste.
Les nombreuses mesures urgentes prises par Mohamed VI ne servent en effet qu’à retarder une échéance devenue désormais absolument inéluctable.
Pas encore remise du Covid-19, l’économie nationale marocaine évolue dans un contexte à haut risque marqué par des pressions sur les finances publiques, une saison agricole menacée par la sécheresse alors que son économie est très tributaire du secteur agricole – premier contributeur au PIB, à hauteur de 14 % – et une forte hausse des prix des matières premières et énergétiques.
« L’effet combiné de la hausse des prix du pétrole et des céréales, s’il se maintient, pourrait coûter au Maroc entre 1 % et 2 % de revenu national cette année », averti le think tank marocain Policy Center for the New South (PCNS) dans une étude parue fin février.
Sur le terrain, la grogne sociale gronde, à quelques semaines du ramadan, les Marocains commencent à faire entendre leur mécontentement contre la cherté de la vie à travers le pays.
« Toutes les conditions sont réunies pour l’émergence d’un véritable mécontentement populaire qui représenterait une réelle menace pour la stabilité sociale du pays », s’inquiète déjà la presse, notamment le quotidien Akhbar Al Youm dans son édition du 2 mars.
Une allusion directe à la crise de 2007-2008, où la hausse brutale des prix des matières premières alimentaires avait déclenché des émeutes de la faim dans diverses villes du monde.
Les prix avaient culminé en 2010-2011, période coïncidant avec les débuts du Printemps arabe », écrit notamment ce média, qui omet de relever que le tourisme en berne depuis trois ans à cause de la pandémie, a fini de vider quasi-totalement les caisses du royaume.
« Mais si le risque de rupture de stocks semble pour l’instant écarté, les prix records atteints ces derniers jours sur les marchés mondiaux menacent de faire exploser les coûts d’approvisionnement.
« Les autorités monétaires devront surveiller attentivement la répercussion de la hausse des prix internationaux sur l’inflation intérieure, afin de calibrer les réponses appropriées », a recommandé le FMI cette semaine.
Mobilisé sur ce dossier, le gouvernement a annoncé des subventions pour la farine et suspendu les droits de douane du blé. Des mesures d’urgence qui interviennent dans un contexte de sécheresse qui contraint le pays à importer davantage.
Le pays enregistre un sévère déficit pluviométrique : à ce jour, la moyenne nationale des précipitations a atteint 75 mm, soit un déficit des deux tiers par rapport à une saison normale, a détaillé le cabinet royal.
Le 16 février, le roi Mohammed VI a ordonné le déblocage en urgence de 10 milliards de dirhams (936 millions d’euros), dans le but d’atténuer les effets dévastateurs de la sécheresse sur l’agriculture et le monde rural. Parmi la batterie de mesures figure la mise en place d’une « assurance sécheresse ».
Le facteur prix est donc un enjeu majeur pour le Maroc, également confronté à une hausse des prix des engrais et intrants et surtout des carburants », lit encore.
Preuve que les dirigeants marocains recourent en effet à des mesures d’urgence temporaires qui ne font que retarder de quelques semaines l’explosion de la bombe sociale. Celle-ci a été fabriquée et remontée par le roi et ses proches collaborateurs, à cause de leur politique prédatrice et antisociale.
Les camionneurs, suivis de près par les chauffeurs de taxis ne décolèrent pas. Leur mouvement de grève, face un carburant qui a atteint le prix record de 13 dirhams, risque de s’étendre à toute la population et au restant du royaume. C’est du carburant, fort inflammable, que viendrait en effet l’implosion finale et salvatrice.
Mehdi Ghayeb
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