L’Algérie de retour sur la scène internationale : Les prouesses diplomatiques du président Tebboune
Le retour de la diplomatie algérienne au premier plan s’est imposé comme une réalité incontestable, sous la conduite du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
En accédant à la magistrature suprême, le président Tebboune avait en effet, conscience de ce qui l’attendait sur le front interne et sur le front international. Plus que des mots, le pays a un grand besoin d’actes.
Le chef de l’Etat n’a pas perdu son temps car il « fallait aussi redonner des couleurs à un appareil diplomatique désemparé «.
Avec le président Abdelmadjid Tebboune, la diplomatie Algérienne, à retrouver ses lettres de noblesse.
Pour le président, il fallait en effet, « réparer en urgence la politique étrangère algérienne «.
Chose faite, en un laps de temps très court, le président Tebboune a replacé l’Algérie dans l’échiquier mondial. Le pays a retrouvé toute sa place dans le concert des Nations.
En Afrique, dans la région Mena (Moyen Orient et Afrique du Nord) et dans le bassin méditerranéen, on respire mieux.
Le chef de l’Etat, a ainsi clairement marqué la rupture avec la politique étrangère menée durant la dernière décennie pour renouer avec sa ligne résolument fidèle aux principes du 1er Novembre 1954, et à sa politique de non-ingérence dans les affaires internes des pays et de règlement pacifique des conflits.
Très vite, le président Tebboune, pour qui, « l’Algérie doit retrouver son leadership naturel «, a été contraint de bousculer, un appareil diplomatique sclérosé et désemparé par l’absence prolongée du locataire du palais d’El-Mouradia de l’époque car la politique étrangère d’un pays, est d’abord l’affaire du président de la République, c’est lui qui contrôle le curseur diplomatique.
Le président de la République, qui force le respect de ses pairs, ne cesse d’œuvrer pour un nouvel ordre international, où la mentalité de guerre laissera la place à la paix et à la démocratie dans le strict respect de la souveraineté des États.
La politique étrangère du président Tebboune, qui est un exemple, est animée par le dialogue, le respect du droit international et des institutions multilatérales.
« Conscient des mutations profondes sur les plans régional et international, l’Etat œuvre en toute sécurité, à préserver la place et la position de l’Algérie dans un contexte mondial marqué par des perturbations et des bouleversements et dans un monde qui ne sera plus régi à l’avenir par les mêmes règles qui ont commandé, des décennies durant, les relations internationales, ni par les mêmes équilibres politiques et économiques mondiaux « lit-on dans le message du président de la République à l’occasion de la célébration de la Fête de la victoire (19 mars 2022).
Dans ce contexte, le président Tebboune a décidé de la création de sept postes d’Envoyés spéciaux, chargés de conduire l’action internationale de l’Algérie sur sept axes d’efforts essentiels reflétant ses intérêts et priorités.
Il s’agit de la question du Sahara occidental et des pays du Maghreb, des questions de sécurité internationale, des questions africaines, en particulier de la géostratégie de l’espace sahélo-saharien et de la présidence du Comité de suivi de l’application de l’accord d’Alger sur la paix et la réconciliation au Mali, la communauté nationale établie à l’étranger, la diplomatie économique, les pays arabes et les grands partenariats internationaux.
Sous la direction du président Tebboune, l’Algérie veille à rester au cœur du jeu international. L’Algérie se retrouve sur tous les dossiers régionaux et internationaux.
L’Algérie, est sur tous les fronts, elle occupe la scène, elle s’apprête à organiser un important sommet des pays Arabes, un sommet qui promet et qui se veut rassembleur, surtout en ces temps de grandes turbulences.
D’ailleurs, avec l’avènement du nouvel ordre mondial, le président Tebboune est fortement sollicité par ses pairs, pour remettre en selle, le mouvement des Non-alignés.
L’Algérie est incontournable, la posture de son président qui n’oscille jamais d’une position à l’autre comme une pendule, contribue à son rayonnement.
Prenant le cas du dossier libyen, la diplomatie algérienne a, maintes fois, réitéré sa position en faveur d’un règlement politique de la crise dans ce pays voisin, à travers un dialogue libo-libyen et son refus de toute ingérence étrangère.
Et au Mali, où elle joue le rôle de chef de file de la médiation internationale, l’Algérie n’a eu de cesse d’appeler à l’accélération de la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation, issu du Processus d’Alger (conclu en 2015), en vue de la stabilisation durable du pays.
L’Algérie contribue, en outre, à l’effort collectif visant à régler le différend opposant l’Egypte et le Soudan à l’Ethiopie au sujet du barrage de la Renaissance construit par Addis-Abeba sur le Nil bleu.
L’Algérie, forte de son expérience de médiation, a aussi réussi, là où beaucoup d’autres pays ont échoué.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a en effet réuni le 5 juillet à Alger, le président palestinien Mahmoud Abbas et le chef du bureau politique du mouvement Hamas, Ismaïl Haniyeh, en marge de leur participation aux festivités marquant le 60e anniversaire de l’indépendance, dans une rencontre historique intervenant après un froid de plusieurs années.
Une initiative s’inscrivant dans le cadre de la position constante et honorable de l’Algérie qui n’a eu de cesse de soutenir la juste cause palestinienne.
Ces deux hommes, qui se regardaient en chiens de faïence depuis de nombreuses années, et dont les partisans en étaient arrivés aux échanges de coups de feu, ont accepté de s’assoir dans la même salle, de se rencontrer et d’échanger leurs points de vue afin de tenter de commencer à aplanir leurs divergences, écrivons-nous sur ces mêmes lignes.
Outre son rôle dans les médiations, la nouvelle politique adoptée par la diplomatie algérienne s’inscrit en droite ligne des priorités identifiées par le Plan d’action du Gouvernement pour la mise en œuvre du programme du président de la République.
L’Algérie a également réussi brillamment à mobiliser les voix en faveur de la position de la diplomatie algérienne qui a déjoué toutes les tentatives d’infiltration de l’entité sioniste et ses alliés au sein l’Union Africaine (février 2022) visant à prendre pied dans la région du monde arabe et en Afrique.
Non seulement. « Notre diplomatie est capable aujourd’hui de faire face à toute offensive contre l’Algérie «, se félicitait récemment le moudjahid et ancien ambassadeur, Noureddine Djoudi.
L’orateur a rappelé les déplacements continus du Président Tebboune dans de nombreux pays, l’intense activité de la diplomatie algérienne ainsi que les visites du Ministre des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l’étranger Ramtane Lamamra, affirmant que les pays arabes ont favorablement accueilli et salué le Sommet arabe qu’abritera l’Algérie en novembre prochain.
Disons-le avec fierté : Aujourd’hui, l’Algérie est en train de montrer la voie au monde, les actions diplomatiques du président Tebboune ont été saluées par tous. Enfin, l’Algérie est de retour.
La Patrie News