La justice espagnole ordonne l’extradition du gendarme déserteur Mohamed Abdallah : Une double victoire judiciaire, diplomatique et médiatique pour l’Algérie
Et la justice fut ! Celle du royaume ibérique d’abord, en attendant que les autres Etats où les terroristes du MAK et de Rashad ont trouvé refuge. Mohamed Abdallah, le gendarme déserteur, placé en détention dans un centre de rétention en attendant que la justice espagnole statue sur son cas, sera finalement extradé vers l’Algérie la justice espagnole, dont la rectitude et l’indépendance ne sauraient absolument pas être remises en cause, a rendu son verdict ce vendredi très tard dans la nuit. Ce gendarme félon sera désormais extradé vers l’Algérie. Cette décision, absolument capital pour la suite des évènements, fera désormais jurisprudence. Elle est en effet, si je puis dire, d’une portée quasi-universelle. Ceux qui se gaussaient de l’Algérie sur les réseaux sociaux à partir de certains pays occidentaux, à l’image de Larbi Zitout et Hicham Aboud, doivent désormais déchanter. Notre pays a présenté un dossier en béton, et embêtant surtout pour cette bande de criminels terroristes, pour obtenir cette extradition-éclair. Rashad et le MAK ne sont rien moins que des organisations terroristes. Les récents incendies dont ces organisations se sont rendues coupables, sont venus étayer le dossier de demande d’extradition ; déjà bien assez lourd et solide sans cela. Le traitre Mohamed Abdallah, dans un live en direct avec Zitout, a e effet reconnu de concert, en même temps que celui-ci, avoir perçu de l’argent de la part du chef de Rashad. Zitout, selon ses propres aveux faits en direct, fournit en effet de l’argent à ces agents déstabilisateurs de l’Etat algérien. Cet aveu, particulièrement accablant, ne vient que s’ajouter aux énormes sommes d’argent qui circulent et qui sont mobilisées dans le but de déstabiliser l’Algérie. La décision de la justice espagnole est une reconnaissance de jure que la nôtre est également indépendante, et est rendue suivant des standards usités de par les grandes démocraties à travers le monde. Elle inaugure une longue liste d’agents déstabilisateurs de l’Etat algérien. Comme promis dans un précédent article, aucune vengeance ne sera tolérée, mais la justice, elle, sera appliquée dans toute sa rigueur. Avis !
M.A