Confidentiel
Sa branche serait une création de Mohamed VI depuis 2000 : Réunion secrète des Francs-maçons au Maroc !
Les loges maçonniques déchainent depuis la nuit des temps curiosité, passions et fantasmes. Difficile de distinguer le vrai du faux dans cette foultitude d’informations où la manipulation le dispute aux plus folles rumeurs. On en retient surtout que cette puissante et richissime organisation cultive un secret maladif. Elle œuvre par tous les moyens à se rapprocher des décideurs planétaires les plus puissants. Si, dans un premier temps elle faisait des hommes politiques, des présidents et des sénateurs des cibles de choix, elle a changé de stratégie et de « gibier » à la faveur des rapides et récentes mutations en matière de TIC (technologies de l’information et de la communication). Quoi qu’il en soit, les loges maçonniques gardent une influence importante, et souvent néfaste, sur le devenir de l’humanité. A en croire de crédibles révélations, le roi Mohamed VI serait le fondateur de la loge maçonnique marocaine depuis 2000. Il s’agit de l’année du décès de son père Hassan II, et de son accession au trône royal. Cette révélation n’étonne pas outre mesure pour deux raisons au moins. D’abord parce que cette secte vise en premier chef les cibles les plus puissantes et les plus vulnérables, ensuite parce que nous savons que Mohamed VI est un vulgaire pantin entre les mains de son « tonton » et « conseiller » André Azoulay. Aux dernières nouvelles, une secrète rencontre des francs-maçons marocains aurait eu lieu récemment à Marrakech, capitale du tourisme et de la débauche marocains. Le plus plaisant et cocasse dans ces révélations, c’est que l’on a tenté de présenter cette discrète rencontre comme une activité libano-européenne. Un lien direct est dès lors à rechercher avec le Maroc-gate. Assurément, Rabat tente de réactiver l’ensemble de ses réseaux maçonniques dormants afin de faire face à ce scandale planétaire, sur les plans médiatique, politique et même judiciaire. La drôle d’implication du Liban est sans doute lié au fait que ce pays en crise oscille entre deux eaux, et que les puissants réseaux sionistes tentent de le soustraire à la salvatrice influence du Hezbollah. Nous savons par exemple que Paris et Doha, elle-même empêtrée jusqu’au cou dans le Maroc-gate, se sont entendues sur le nom de Joseph Aoun, actuel chef d’état-major, pour soutenir sa candidature à la présidence libanaise. Les cinq précédentes sessions du Parlement libanaise se sont achevées en queue de poisson. Victime du confessionnalisme légué par la France et l’Angleterre, ce pays applique une pâle copie de la démocratie véritable. Le fond de ma pensée, c’est si Paris et Rabat réussissent leur coup concernant le Liban, allant même jusqu’à désarmer le Hezbollah, les accords d’Abraham seraient étendus au Liban à la faveur du prochain sommet de mars, évoqué par nous tout à l’heure. L’Arabie Saoudite n’aurait été ainsi qu’un leurre destiné à brouiller les pistes. Ce machiavélique travail d’orfèvre porte bel et bien la signature de ce genre de loges maçonniques. A suivre…
Mohamed Abdoun
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