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Il recourt à de faux profils pour se booster dans les réseaux sociaux et les sondages : Un menteur nommé Zemmour !
Finalement, insolente ascension d’Eric Zemmour dans les sondages et les réseaux sociaux n’est qu’un leurre. Mieux, ou pire c’est selon. Cet individu n’est qu’un fieffé menteur. Celui qui caresse le rêve de gouverner les Français, tous les Français, compte en effet s’y prendre par la tromperie et le mensonge. Et ce ne sont pas là paroles ou accusations lancées à l’emporte-pièce. L’illustration que voici montre une infime partie des milliers ou dizaines de milliers de faux profils artificiellement créés pour booster a côte de cet atypique candidat. Mais rétorqueriez-vous doctement, le mensonge est une seconde nature chez tous les hommes politiques du monde. Certes, répondions-nous. Mais pas chez cet individu. Lui qui prétend être venu nettoyer les écuries d’Augias et moraliser les vies politique et publique chez lui, donc, le mensonges est doublement interdit. Or, il fait bien pire que mentir. Il se rend coupable en effet de faux et usage de faux. S’il agit de cette façon condamnable lors même qu’il n’est que candidat, quel serait dès lors son comportement s’il est un jour élu président à cour de démultiplication des mensonges et des tromperies. Déjà, ses inacceptables approximations m’avaient souvent interpellé dès qu’il aborde le sujet polémique du « grand remplacement » cela ‘avait interpellé et choqué à la fois, car je me disais dans mon for intérieur que Zemmour est avant tout un journaliste, donc volontairement astreint à une forme d’éthique et de déontologie. Or, il n’en est rien. Zemmour est un animal à sang froid. Seule sa haine de l’autre l’anime. On complexe d’infériorité aussi. Dénué de tout scrupule et de toute morale, il se montre prêt à aller bien plus loin que ne l’avait fait Jean-Marie Le Pen, bourreau des moudjahidines durant notre glorieuse guerre de libération nationale. Partant, il devient inutile de s’étonner en voyant ce bonhomme se livrer à un doigt d’honneur à l’adresse d’une femme dont il quémande les suffrages. Non plus quand on l’entend user d’un langage scatologique, carrément « cradingue », au moment où il s’adresse à un journaliste venu le solliciter pour une raison quelconque. Les coups ne vont pas tarder à pleuvoir. Les déportations et les camps de concentrations « soft » font déjà partie de son programme électoral. In fine, et face à la « médiocratisation » du personnel politique hexagonal, Emanuel Macron reste le moins mauvais choix pour des Français qui a opté pour un insidieux et permanent nivellement par le bas. Dire que Zemmour ose encore se comparer à de Gaulle !
Moohamed Abdoun